Bombardier annonce ses résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2016

  • Résultat consolidé et performance en trésorerie(1) supérieurs à nos prévisions pour 2016
  • Marges(1) de l’exercice pour Transport, Avions d’affaires et Avions commerciaux supérieures à nos prévisions
  • Atteinte de tous les jalons des nouveaux programmes; CS100 et CS300 en service; Global 7000 en essais en vol
  • Prévisions pour 2017 réaffirmées; en bonne voie de réaliser tous nos objectifs pour 2018 et 2020
  • Liquidités(2) obtenues, plan de redressement en pleine exécution

Bombardier (TSX : BBD.B) a présenté aujourd’hui ses résultats financiers pour le quatrième trimestre et l’exercice 2016. De plus, l’entreprise a réaffirmé ses prévisions pour 2017 et souligné un autre trimestre de solides performances alors qu’elle exécute son plan de redressement.

« Notre plan de redressement est en pleine exécution, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. En 2016, Bombardier a tenu ses engagements financiers. Nous avons franchi comme prévu d’importants jalons de nos programmes et positionné l’entreprise pour réaliser tous les objectifs financiers de notre plan quinquennal de redressement, y compris celui de flux de trésorerie disponibles neutres en 2018. »

Sur une base consolidée, Bombardier a dépassé pour 2016 sa fourchette de prévisions pour le RAII avant éléments spéciaux(3), accru sa trésorerie de 778 millions $ sur douze mois et amélioré d’environ 200 points de base la marge opérationnelle de ses secteurs Transport, Avions d’affaires et Aérostructures. Avec le refinancement réussi des billets de premier rang d’un capital global de 1,4 milliard $ au quatrième trimestre, l’entreprise a aussi achevé avec succès en 2016 la phase d’atténuation des risques de son plan de redressement, tout en s’assurant les liquidités nécessaires à l’exécution des deux dernières phases de son plan : construire ses bénéfices et ses flux de trésorerie ainsi que désendetter son bilan.

Des preuves supplémentaires des progrès réalisés par l’entreprise au quatrième trimestre de 2016 sont la mise en service réussie de l’avion CS300 sous les couleurs d’airBaltic, qui a suivi les solides performances des avions CS100 avec SWISS depuis le début du service commercial il y a six mois. Le nouveau biréacteur d’affaires très long-courrier de Bombardier établissant une nouvelle catégorie d’avions d’affaires, l’avion Global 7000, a aussi commencé ses essais en vol au quatrième trimestre en vue d’une mise en service au second semestre de 2018.

« Alors que nous débutons 2017, nous avons confiance en notre stratégie, en notre plan de redressement et en notre capacité à créer de la valeur en tirant pleinement parti du portefeuille de Bombardier, a poursuivi M. Bellemare. Nos efforts demeurent axés sur l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, l’accélération sans faille de nos nouveaux programmes et le maintien d’une approche disciplinée et proactive pour offrir plus de valeur à nos clients et à nos actionnaires, quelle que soit la conjoncture du marché. »

En 2017, selon les prévisions présentées en décembre 2016, l’entreprise devrait renouer avec la croissance des revenus, une croissance de quelques points de pourcentage découlant principalement de la hausse des revenus de Transport et d’une accélération du nombre de livraisons d’avions C Series. En 2017, le RAII avant éléments spéciaux devrait croître de 35 % au point milieu de la fourchette de 530 millions $ à 630 millions $, croissance attribuable à une amélioration des marges de tous nos secteurs d’activité. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles devrait continuer à s’améliorer et diminuer d’au plus 300 millions $ pour se retrouver dans la fourchette de 750 millions $ à 1,0 milliard $, alors que l’entreprise continuera de progresser sur la courbe d’apprentissage des avions C Series.

Principaux résultats (PDF)

RÉSULTATS SECTORIELS ET FAITS SAILLANTS

Avions d’affaires

Résultats (PDF)

  • La performance financière du secteur d’activité Avions d’affaires en 2016 a dépassé toutes les prévisions. Avions d’affaires a effectué la livraison de 163 avions, tout en atteignant des revenus de 5,7 milliards $ et une marge RAII avant éléments spéciaux de 6,4 %, une hausse de 200 points de base sur celle de l’exercice précédent.
  • Les résultats financiers de 2016 témoignent de nos efforts soutenus visant la hausse durable de nos marges en améliorant l’efficacité de production, en transformant notre structure de coûts, en améliorant notre agilité sur le plan de la production ainsi que nos activités liées aux avions d’occasion.
  • Nous avons également réalisé d’importants progrès dans le développement du programme d’avions Global 7000 et Global 8000, établissant la norme pour une nouvelle catégorie de grands avions d’affaires. Le 4 novembre 2016, nous avons effectué avec succès le vol inaugural du premier véhicule d’essais en vol Global 7000 consacré aux essais de fonctionnalité des systèmes de base et à l’évaluation des qualités de maniabilité et de vol de l’avion. L’avion Global 7000 est le premier et l’unique biréacteur d’affaires de conception entièrement nouvelle présentant quatre zones habitables. Conçu avec une aile transsonique de dernière génération, cet avion offre une capacité d’approche à angle prononcé et de performance sur courte piste en plus d’être doté de moteurs à haute efficacité, de la cabine la plus vaste de cette catégorie et d’un poste de pilotage très évolué.(4)

Avions commerciaux

Résultats (PDF)

  • La performance financière du secteur d’activité Avions commerciaux en 2016 a été marquée par l’accélération de la production et le passage à la phase génératrice de revenus du programme d’avions C Series. Les revenus et les livraisons ont été conformes aux prévisions. Le RAII négatif se compare favorablement aux prévisions, grâce à une solide exécution alors que nous accélérions la cadence de production et au contrôle des coûts durant les premiers mois suivant les mises en service des avions, le tout soutenu par la fiabilité des avions en service. Nous visons maintenant à accroître notre efficacité tout en augmentant notre cadence de production, à continuer d’accroître notre carnet de commandes, à livrer des avions C Series et à fournir du soutien à la clientèle.
  • En 2016, Avions commerciaux a atteint un jalon historique, soit la certification et la mise en marché des deux variantes d’avions C Series, première gamme d’avions de conception entièrement nouvelle à servir le segment de marché des avions monocouloirs de 100 à 150 sièges en près de 30 ans. Avec un total de sept livraisons d’avions effectuées à la fin de l’exercice, l’avion CS100 et l’avion CS300 offrent comme prévu des coûts d’exploitation avantageux, une polyvalence opérationnelle supérieure, des performances et une autonomie exceptionnelles ainsi que du confort aux passagers.
  • Au cours de l’exercice, d’importantes commandes ont renforcé la position du programme d’avions C Series dans le segment de marché des avions de 100 à 150 places. Au total, 129 commandes fermes assorties de 80 options de Delta Air Lines, Air Canada, airBaltic et Air Tanzania ont été ajoutées au carnet de commandes, pour une valeur combinée de 10,1 milliards $ aux prix affichés.
  • Au cours de l’exercice, nous avons obtenu un investissement en actions de 1,0 milliard $ du gouvernement du Québec (par le biais d’Investissement Québec), en contrepartie d’une participation de 49,5 % dans une société en commandite nouvellement constituée, soit la Société en commandite Avions C Series  (SCACS), qui poursuivra les activités liées à notre programme d’avions C Series et qui continuera d’être incluse dans le périmètre de consolidation de nos résultats financiers.

Aérostructures et Services d’ingénierie

Résultats (PDF)

  • Nous avons réalisé nos prévisions de revenus et de rentabilité(1) pour 2016. La progression de la marge est essentiellement attribuable à la solide exécution de nos initiatives de transformation visant à optimiser notre exploitation.

Bombardier Transport

Résultats (PDF)

  • Notre transformation opérationnelle donne des résultats. Pour 2016, la marge RAII avant éléments spéciaux de 7,4 % a dépassé nos prévisions. Nos revenus de 7,6 milliards $ pour 2016 ont été inférieurs aux prévisions, en raison surtout de notre gestion active des projets entraînant le maintien du report de certains revenus conformément à la méthode comptable relative aux contrats à long terme.
  • Solide volume de nouvelles commandes de 8,5 milliards $ dans l’ensemble des segments de produits et des régions géographiques, conduisant à un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,1 pour l’exercice, et portant le carnet de commandes à 30,1 milliards $ au 31 décembre 2016.
  • Le 11 février 2016, nous avons conclu la vente, à la Caisse de dépôt et placement du Québec (la Caisse), d’une participation de 30 % dans Bombardier Transportation (Investment) UK Limited (BT Holdco), en contrepartie d’un investissement de 1,5 milliard $ dans le capital social sous forme d’actions convertibles. BT Holdco détient pratiquement tous les actifs et passifs du secteur d’activité Transport de Bombardier, compte tenu d’une restructuration d’entreprise. BT Holdco continue d’être contrôlée par Bombardier Inc. et ses résultats continueront d’être présentés dans le périmètre de consolidation de Bombardier Inc.

À propos de Bombardier

Bombardier est le leader mondial de la fabrication d’avions et de trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions se négocient à la Bourse de Toronto (BBD), et nous sommes l’une des entreprises composant l’indice de durabilité Dow Jones North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2016, nos revenus ont totalisé 16,3 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Bombardier Inc. utilise son site Web comme canal de diffusion d’information importante sur l’entreprise. L’information financière et toute autre information importante relative à Bombardier Inc. est normalement affichée sur son site Web et est accessible à bombardier.com. Les investisseurs sont avisés par la présente qu’à partir de maintenant, l’information au sujet des dividendes réguliers déclarés et versés par Bombardier ne sera disponible que sur son site Web, à moins qu’elle n’y soit tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables.

BombardierCS100, CS300, C Series, Global, Global 7000 et Global 8000 sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Simon Letendre
Conseiller principal, 
Relations avec les médias et affaires publiques
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Patrick Ghoche
Vice-président,
Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 5727

Nous recommandons fortement aux lecteurs de consulter notre rapport de gestion ainsi que nos états financiers consolidés qui sont affichés sur notre site Web à ri.bombardier.com pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats sectoriels.

ins : information non significative

pdb : points de base

(1) Résultat, rentabilité, marge et marge opérationnelle font référence à RAII avant éléments spéciaux ou à marge RAII avant éléments spéciaux. Performance en trésorerie fait référence à l’utilisation de flux de trésorerie disponibles. Mesures financières non conformes aux PCGR. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

(2) Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables de la Société.

(3) Mesures financières non conformes aux PCGR. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

(4) Voir la mise en garde relative au programme d'avions Global 7000 et Global 8000 dans le rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2016.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres entreprises utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d’activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.

Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur les objectifs, les prévisions, les cibles, les buts, les priorités, les marchés et les stratégies de l’entreprise, sa situation financière, ses croyances, ses perspectives, ses plans, ses attentes, ses anticipations, ses estimations et ses intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales; les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; la position de l’entreprise en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur l’entreprise et ses activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; l’incidence et les avantages escomptés de l’investissement par le gouvernement du Québec dans la Société en commandite Avions C Series et du placement privé visant une participation minoritaire de la Caisse de dépôt et placement du Québec dans Transport sur les activités de l’entreprise, son infrastructure, ses occasions, sa situation financière, son accès à des capitaux et sa stratégie générale; et l’incidence de ces investissements sur son bilan et sa situation financière.

Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que les résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, l’entreprise note, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, au contexte commercial de l’entreprise (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale; à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux pressions sur les flux de trésorerie exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier, à la capacité de l’entreprise de mettre en œuvre et de réaliser avec succès sa stratégie et son plan de transformation; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; à l’environnement; à sa dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres du rapport de gestion du rapport financier de l’entreprise pour l’exercice clos le 31 décembre 2016. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Avions d’affaires, Avions commerciaux, Aérostructures et Services d’ingénierie et Transport du rapport de gestion du rapport financier de l’entreprise pour l’exercice clos le 31 décembre 2016.

Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, l’entreprise nie expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.