Bombardier annonce ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables aux IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la Mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse. Les données comparatives ont été retraitées. Voir la rubrique Nouveautés en comptabilité et en présentation de l’information financière dans le rapport de gestion de la Société.)

• Revenus de 4,4 milliards $, comparativement à 4,1 milliards $ l’exercice précédent
• RAII avant éléments spéciaux⁽¹⁾ de 257 millions $, ou 5,8 % des revenus, comparativement à 214 millions $, ou 5,2 %, l’exercice précédent
• RAII de 288 millions $, ou 6,5 % des revenus, comparativement à 214 millions $, ou 5,2 %, l’exercice précédent
• Résultat net ajusté⁽¹⁾ de 158 millions $, comparativement à 167 millions $ l’exercice précédent
• RPA ajusté⁽¹⁾ de 0,09 $, correspondant à celui de l’exercice précédent
• Utilisation des flux de trésorerie disponibles⁽¹⁾ de 566 millions $, comparativement à une utilisation de 608 millions $ l’exercice précédent
• Sources de financement disponibles à court terme de 4,5 milliards $ au 30 juin 2013, incluant un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 3,1 milliards $, comparativement à respectivement 4,0 milliards $ et 2,6 milliards $ au 31 décembre 2012
• Carnet de commandes record de 65,5 milliards $ au 30 juin 2013, comparativement à 64,9 milliards $ au 31 décembre 2012

 ⁽¹⁾        Voir la Mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013. Les revenus du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013 ont totalisé 4,4 milliards $, en regard de 4,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) avant éléments spéciaux du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013 a totalisé 257 millions $, ou 5,8 % des revenus, comparativement à 214 millions $, ou 5,2 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Sur une base ajustée, le résultat net du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013 a été de 158 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,09 $, comparativement à 167 millions $, ou un RPA de 0,09 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Pour le trimestre clos le 30 juin 2013, l’utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes d’immobilisations corporelles et incorporelles) a totalisé 566 millions $, comparativement à une utilisation de 608 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Au 30 juin 2013, les sources de financement disponibles à court terme de 4,5 milliards $ incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 3,1 milliards $, comparativement à respectivement 4,0 milliards $ et 2,6 milliards $ au 31 décembre 2012. Le carnet de commandes global a atteint le montant record de 65,5 milliards $ au 30 juin 2013, en regard de 64,9 milliards $ au 31 décembre 2012.

« Tel que prévu, les résultats de notre deuxième trimestre ont montré une progression des revenus, du RAII et des flux de trésorerie disponibles, a dit Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Transport a connu un bon deuxième trimestre progressant sur tous les fronts; les revenus et les flux de trésorerie se sont améliorés, la marge RAII a atteint 6,9 % et le niveau de nouvelles commandes a continué d’être solide avec un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5.

« Aéronautique a aussi réalisé une belle performance avec une rentabilité et des flux de trésorerie disponibles accrus ainsi qu’un carnet de commandes record. Le développement de l’avion CSeries se poursuit avec succès, certaines principales étapes clés ayant déjà été franchies; les turbosoufflantes à réducteur fonctionnent bien et alimentent les principaux systèmes de l’avion; et l'exécution des dernières mises à niveau logicielles de l'avion se poursuit avec succès. Nous en sommes maintenant à la dernière phase d'essais préparatoires au vol inaugural qui aura lieu au cours des prochaines semaines.

« Les perspectives sont positives pour les deux groupes. Notre carnet de commandes record de 65,5 milliards $, combiné à nos importants investissements dans de nouveaux produits, nous assurent une solide croissance au cours des années à venir », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier Aéronautique

Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,3 milliards $ pour les trimestres clos le 30 juin 2013 et 2012. Le RAII avant éléments spéciaux a totalisé 107 millions $, ou 4,7 % des revenus, pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2013, comparativement à 99 millions $, ou 4,4 %, l’exercice précédent.

L’utilisation de flux de trésorerie disponibles a totalisé 459 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 534 millions $) pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2013, comparativement à une utilisation de 504 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 481 millions $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Aéronautique a livré 57 avions au cours du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013, comparativement à 62 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent, et reçu 82 commandes nettes au cours du deuxième trimestre, comparativement à 146 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent.

La division Avions d’affaires a remporté d’importantes commandes au deuxième trimestre. VistaJet a placé une commande de 20 biréacteurs Challenger 350, d’une valeur de 518 millions $ d’après le prix affiché, assortie d’options sur 20 autres, et un client préférant garder l’anonymat a commandé 12 biréacteurs Global 8000, d’une valeur de 804 millions $ d’après le prix affiché. Chez Avions commerciaux, Ilyushin Finance Co. (IFC) de Russie a converti en commande ferme sa commande conditionnelle de 32 avions CS300 assortie d’options sur 10 autres. La commande ferme est évaluée à 2,6 milliards $ d’après le prix affiché.

Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique totalisait un montant record de 33,4 milliards $ au 30 juin 2013, comparativement à 32,9 milliards $ au 31 décembre 2012.

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport du trimestre clos le 30 juin 2013 ont été de 2,2 milliards $, en regard de 1,8 milliard $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII a totalisé 150 millions $, ou 6,9 % des revenus, comparativement à 115 millions $, ou 6,3 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 30 juin 2013 a totalisé 21 millions $, comparativement à une utilisation de 44 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le total des nouvelles commandes a atteint 3,2 milliards $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5), comparativement à 2,9 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes totalisait 32,1 milliards $ au 30 juin 2013, comparativement à 32,0 milliards $ au 31 décembre 2012.

Au cours du deuxième trimestre clos le 30 juin 2013, en plus de plusieurs commandes de petite et moyenne taille portant sur tous nos segments et toutes les régions, Bombardier Transport a encore renforcé sa position de chef de file du marché en remportant trois contrats stratégiques d’envergure en Europe. Le groupe a signé un accord-cadre avec Deutsche Bahn AG (DB) visant jusqu’à 450 locomotives électriques, d’une valeur pouvant atteindre 2 milliards $, en vertu duquel il a reçu une première commande ferme de 130 locomotives, d’une valeur de 573 millions $. Il s’agit du contrat de locomotives électriques le plus important dans ses principaux marchés européens au cours des dernières années. Le groupe a également reçu de SL, la régie des transports publics de Stockholm, l’une des commandes de métro les plus importantes en Europe au cours des dernières années. Cette commande de 96 rames de métro MOVIA C30 de nouvelle génération, est évaluée à 771 millions $. Enfin, le groupe a obtenu un contrat de S-Bahn Hamburg GmbH, filiale de DB, pour livrer 60 nouveaux trains de banlieue à courant unique et bicourant, d’une valeur de 427 millions $.

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B

Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 30 septembre 2013 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 13 septembre 2013.

Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 13 septembre 2013 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2

Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 mai, 15 juin et 15 juillet 2013.

Actions privilégiées, série 3

Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2013 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 18 octobre 2013.

Actions privilégiées, série 4

Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2013 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 18 octobre 2013.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership mondial en transport résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2012, nos revenus ont été de 16,8 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Challenger, Challenger 350, CS300, CSeries, Flexjet, Global, Global 8000, L’évolution de la mobilité et MOVIA sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Notes aux éditeurs

Le rapport de gestion et les états financiers intermédiaires consolidés sont disponibles à ri.bombardier.com.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent rapport de gestion contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme «pouvoir», «prévoir», «devoir», «avoir l’intention de», «estimer», «planifier», «entrevoir», «croire», «continuer», «maintenir» ou «aligner», la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour plus de détails sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs posées dans ce communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport dans le rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l'exercice clos le 31 décembre 2012.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l’exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport annuel pour l’exercice clos le 31 décembre 2012. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent rapport et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport de gestion sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et la marge RAII avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent principalement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos états financiers consolidés intermédiaires une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement dans le rapport de gestion de la Société pour les définitions de ces mesures et les rapprochements avec les mesures les plus comparables des IFRS.

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