Bombardier annonce ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012

(Tous les montants de ce communiqué sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire.)

  • Revenus de 4,2 milliards $, comparativement à 4,7 milliards $ l’exercice précédent
  • RAII de 220 millions $, ou 5,3 % des revenus, comparativement à 296 millions $, ou 6,2 %, l’exercice précédent
  • Résultat net de 182 millions $, comparativement à 211 millions $ l’exercice précédent
  • Résultat par action dilué de 0,10 $, comparativement à 0,12 $ l’exercice précédent
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 642 millions $, comparativement à une utilisation de 1,1 milliard $ l’exercice précédent
  • Solides liquidités de 3,9 milliards $, dont 2,5 milliards $ de trésorerie et équivalents de trésorerie, comparativement à respectivement 4,1 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2011
  • Solide carnet de commandes de 56,9 milliards $, comparativement à 53,9 milliards $ au 31 décembre 2011
  • Commande ferme de NetJets Inc. de 100 biréacteurs d’affaires de la gamme Challenger d’une valeur totale de 2,6 milliards $, d’après les prix affichés

Bombardier a publié aujourd’hui ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012. Les revenus ont totalisé 4,2 milliards $, comparativement à 4,7 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) a été de 220 millions $, comparativement à 296 millions $ l’exercice précédent. La marge RAII a été de 5,3 %, contre 6,2 % l’exercice précédent.

Le résultat net du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012 s’est établi à 182 millions $, en regard de 211 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat par action (RPA) dilué a été de 0,10 $, comparativement à un RPA dilué de 0,12 $ l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes d’immobilisations corporelles et incorporelles) s’est élevée à 642 millions $ pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à une utilisation de 1,1 milliard $ l’exercice précédent. Le solide niveau de liquidités de 3,9 milliards $ inclut 2,5 milliards $ de trésorerie et équivalents de trésorerie au 30 juin 2012, en regard de respectivement 4,1 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2011. Le carnet de commandes total a progressé de 3 milliards $ depuis le début de l’exercice pour atteindre 56,9 milliards $ au 30 juin 2012.

« Comme prévu, nos revenus ont baissé au deuxième trimestre. Nous nous attendons toutefois à ce que les revenus pour l’ensemble de l’exercice soient semblables à ceux de l’an dernier, a déclaré Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc.

« Chez Transport, la baisse des revenus est attribuable à l’achèvement de certains contrats importants tandis que de nouvelles commandes en sont toujours à la phase de démarrage. Nous avons continué de connaître un bon niveau d’activité, remportant 2,9 milliards $ de nouvelles commandes au cours du trimestre, principalement en Amérique du Nord et en Europe.

« Chez Aéronautique, les revenus pour le trimestre ont progressé pour s’établir à 2,3 milliards $, contre 2,1 milliards $ l’an dernier, avec un total de 62 avions livrés, contre 56. Le volume de nouvelles commandes d’avions d’affaires a été solide et l’élan se poursuit pour les avions commerciaux, avec 174 commandes et autres ententes annoncées jusqu’ici cette année. Nos nouveaux programmes de développement d’avions franchissent d’importantes étapes et les programmes CSeries et Learjet 85 progressent vers une entrée en service d’ici la fin de 2013.

« Notre très important carnet de commandes de 56,9 milliards $ nous positionne favorablement pour les années à venir et témoigne du succès de l’ensemble de notre portefeuille de produits », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier Aéronautique
Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,3 milliards $, comparativement à 2,1 milliards $ l’exercice précédent. Le RAII a été de 102 millions $, se traduisant en une marge RAII de 4,5 % pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, en regard à 105 millions $, ou 5 %, l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a totalisé 504 millions $, comparativement à une utilisation de 448 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Soixante-deux avions ont été livrés au total au cours du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à 56 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique a augmenté de 14,5 % pour s’établir à 25,2 milliards $ au 30 juin 2012, en regard de 22 milliards $ au 31 décembre 2011.

Bombardier Avions d’affaires a connu un niveau élevé de nouvelles commandes, enregistrant 134 commandes nettes, en regard de 43 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Cela inclut la conclusion avec NetJets Inc. de la plus importante commande d’avions d’affaires de toute l’histoire de Bombardier portant sur 100 avions de la gamme Challenger assortie d’options sur 175 appareils. D’après les prix affichés, la valeur de la commande ferme est de 2,6 milliards $ et pourrait atteindre 7,3 milliards $ si toutes les options étaient exercées. De plus, NetJets Inc. et Bombardier ont conclu une entente de service à long terme d’une valeur de 820 millions $, ou 2,3 milliards $ si toutes les options étaient exercées.

À ce jour, Bombardier Avions commerciaux affiche une solide performance, ayant enregistré 174 commandes et autres ententes, dont 72 commandes fermes. Ces commandes portent sur le large éventail de nos produits et proviennent de nombreuses régions du monde, telle la commande de WestJet visant 20 biturbopropulseurs Q400 NextGen, celle de China Express portant sur six avions CRJ900 NextGen, Nordic Aviation Capital qui a commandé 12 avions CRJ1000 NextGen et, enfin, Privat Air qui a passé une commande de cinq avions CSeries.

Les programmes de développement des appareils CSeries et Learjet 85 progressent bien vers leur entrée en service à la fin de 2013. Pour les programmes CSeries, la grande majorité des systèmes principaux sont en place et en fonction sur l’« avion 0 », notre banc d’essai et de certification intégré des systèmes au sol. La mise en service progressive des systèmes sur l’« avion 0 » nous permet d’effectuer les essais et la validation au sol avant le vol inaugural.

Notre programme Learjet 85 se déroule également bien. Les travaux sur les deux premiers avions destinés aux essais en vol et sur la plateforme d’essai statique complet au sol sont en bonne voie, grâce à la production de centaines de composants en composite, dont le fuselage pressurisé de 32 pieds unique en composite.

Bombardier Transport
Les revenus de Bombardier Transport au deuxième trimestre terminé le 30 juin 2012 ont totalisé 1,9 milliard $, comparativement à 2,7 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII a atteint 118 millions $, en regard de 191 millions $ l’exercice précédent, se traduisant en une marge RAII de 6,2 %, contre 7,2 % l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles s’est élevée à 78 millions $ pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, en regard d’une utilisation de 473 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes s’est établi à 31,7 milliards $ au 30 juin 2012, contre 31,9 milliards $ au 31 décembre 2011, en raison de l’affaiblissement de la plupart des devises face au dollar américain.

Au cours du deuxième trimestre de 2012, Bombardier Transport a enregistré des nouvelles commandes d’une valeur totale de 2,9 milliards $, représentant un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5. Le groupe a confirmé son leadership en Amérique du Nord par la signature d’un contrat portant sur 410 voitures de métro avec la San Francisco Bay Area Rapid Transit District (BART) d’une valeur de 897 millions $, et d’un contrat avec la Metropolitan Transportation Authority (MTA) portant sur 300 voitures de métro, destinées à la New York City Transit, d’une valeur de 599 millions $.

Les contrats cadres et les options représentent un bon potentiel de nouvelles commandes comme le démontre la commande de 39 tramways FLEXITY Berlin additionnels dans le cadre d’une entente-cadre portant sur un maximum de 206 véhicules. Bombardier Transport a également reçu une commande de 210 voitures à deux étages de train de banlieue pour le RER, le réseau ferroviaire de banlieue d’Île-de-France, dont la part de Bombardier est évaluée à 417 millions $. Cette nouvelle commande est une levée d’option inscrite au contrat signé en avril 2009.

Le groupe enregistre de bons progrès dans le cadre de plusieurs contrats importants dans le monde entier, alors que le train ZEFIRO 380 a été mis à l’essai avec succès à Beijing et démontre un excellent comportement sur le plan de la dynamique, que l’assemblage du premier train V300ZEFIRO pour l’Italie a débuté et que le premier train Regio 2N, présenté aux Régions françaises et à la SNCF à Crespin, est maintenant à l’essai.

Les marchés de l’industrie du rail demeurent résilients malgré les défis que pose l’économie mondiale. De nombreuses soumissions se profilent à l’horizon, notamment celles portant sur des métros en Inde, sur des trains de banlieue au Royaume-Uni, sur des locomotives en Allemagne, et sur des voitures de train à grande vitesse aux États-Unis.

Faits saillants financiers
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Résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012

ANALYSE DES RÉSULTATS

Résultats consolidés
Les revenus consolidés ont totalisé 4,2 milliards $ au deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à 4,7 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Pour le semestre clos le 30 juin 2012, les revenus consolidés ont été de 7,7 milliards $, en regard de 9,4 milliards $ pour le semestre correspondant de l’exercice précédent.

Le RAII au deuxième trimestre clos le 30 juin 2012 s’est chiffré à 220 millions $, ou 5,3 % des revenus, en regard d’un RAII de 296 millions $, ou 6,2 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent. Pour le semestre clos le 30 juin 2012, le RAII s’est chiffré à 435 millions $, ou 5,7 % des revenus, en regard d’un RAII de 608 millions $, ou 6,5 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Le revenu net de financement pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012 a totalisé 11 millions $, comparativement à une charge nette de financement de 35 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’amélioration de 46 millions $ est principalement attribuable à un gain réalisé lors de la vente de titres, un gain net plus élevé sur certains instruments financiers et une baisse de l’amortissement des coûts liés aux facilités de lettres de crédit. Pour le semestre clos le 30 juin 2012, le revenu net de financement a totalisé à 11 millions $, comparativement à une charge nette de financement de 71 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’amélioration de 82 millions $ est essentiellement attribuable à un gain réalisé lors de la vente de titres, à des revenus d’intérêt correspondant à la composante intérêts d’un gain réalisé lors de la résolution en notre faveur d’un litige avec l’Agence du revenu du Canada, une baisse de l’amortissement des coûts liés aux facilités de lettres de crédit, une diminution des charges d’intérêt sur la dette à long terme, compte tenu de l’incidence des instruments de couverture, et une diminution de la charge de désactualisation des provisions.

Pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2012, les taux d’imposition effectifs ont été respectivement de 21,2 % et 16,6 %, comparativement au taux d’imposition prévu par la loi de 26,8 %. Les taux d’imposition effectifs plus faibles sont principalement attribuables à l’incidence positive de la comptabilisation d’avantages fiscaux non comptabilisés antérieurement ainsi qu’aux différences permanentes, en partie contrebalancée par des avantages fiscaux non comptabilisés.

Il en a découlé un résultat net de 182 millions $, ou un RPA dilué de 0,10 $, pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à 211 millions $, ou un RPA dilué de 0,12 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Pour le premier semestre clos le 30 juin 2012, le résultat net a été de 372 millions $, ou un RPA dilué de 0,20 $, comparativement à 431 millions $, ou un RPA dilué de 0,24 $, pour le semestre correspondant de l’exercice précédent.

L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 642 millions $ pour le trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à une utilisation de 1,1 milliard $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 1,4 milliard $ pour le semestre clos le 30 juin 2012, comparativement à une utilisation de 1,5 milliard $ pour le semestre correspondant de l’exercice précédent.

Au 30 juin 2012, le carnet de commandes de Bombardier s’établissait à 56,9 milliards $, contre 53,9 milliards $ au 31 décembre 2011.

Bombardier Aéronautique

  • Revenus de 2,3 milliards $
  • RAII de 102 millions $, ou 4,5 % des revenus
  • RAIIA de 160 millions $, ou 7,1 % des revenus
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 504 millions $
  • 62 livraisons d’avions
  • 146 commandes nettes (ratio de nouvelles commandes sur livraisons de 2,4)
  • Carnet de commandes de 25,2 milliards $
  • Commande ferme de la part de NetJets Inc. pour 100 avions de la gamme Challenger d’une valeur totale de 2,6 milliards $, d’après les prix affichés

Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,3 milliards $ pour le trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à 2,1 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’augmentation est essentiellement attribuable à l’augmentation du nombre de livraisons d’avions d’affaires dans les catégories des biréacteurs d’affaires intermédiaires et grands, en partie contrebalancée par la diminution du nombre de livraisons de biréacteurs régionaux, attribuable principalement au ralentissement des cadences de production pour tenir compte de la demande actuelle et aux reports de certaines livraisons à la deuxième moitié de l’exercice. 

Pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, le RAII a totalisé 102 millions $, ou 4,5 % des revenus, comparativement à 105 millions $, ou 5 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 0,5 point de pourcentage est principalement attribuable à la moins bonne absorption des charges de vente et d’administration plus élevées attribuable principalement à la hausse des frais de vente des avions d’affaires, à l’incidence négative de la hausse des taux de change, compte tenu de l’incidence des instruments de couverture, pour le dollar canadien par rapport au dollar américain, la baisse des prix de vente nets des avions commerciaux, l’écart négatif net sur des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur et sur des provisions pour garanties de crédit et garanties de valeur résiduelle et l’augmentation des charges de R et D découlant de la hausse de l’amortissement de l’outillage des programmes aéronautiques; en partie contrebalancés par la hausse des marges tirées des activités de service et la combinaison entre les livraisons d’avions d’affaires et les livraisons d’avions commerciaux.

Pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, l’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 504 millions $, comparativement à une utilisation de 448 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 56 millions $ des flux de trésorerie disponibles est essentiellement attribuable à l’accroissement des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles attribuable à nos investissements considérables dans de nouveaux produits, en partie contrebalancé par l’écart net positif, par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent, de la variation nette des soldes hors caisse liés aux activités opérationnelles.

Pour le trimestre clos le 30 juin 2012, le nombre de livraisons d’avions a été de 62, contre 56 pour la période correspondante de l’exercice précédent. Les 62 livraisons étaient composées de 46 avions d’affaires, 15 avions commerciaux et 1 avion amphibie (35 avions d’affaires, 20 avions commerciaux et 1 avion amphibie pour la période correspondante de l’exercice précédent).

Bombardier Aéronautique a reçu 146 commandes nettes (ratio de nouvelles commandes sur livraisons de 2,4) au cours du trimestre clos le 30 juin 2012, comparativement à 86 au cours de la période correspondante de l’exercice précédent. Les 146 commandes nettes étaient composées de 134 commandes nettes d’avions d’affaires et 12 commandes d’avions commerciaux (43 commandes nettes d’avions d’affaires et 43 commandes d’avions commerciaux pour la période correspondante de l’exercice précédent).

Le carnet de commandes fermes de Bombardier Aéronautique atteignait 25,2 milliards $ au 30 juin 2012, comparativement à 22 milliards $ au 31 décembre 2011. L’augmentation de 14,5 % du carnet de commandes est surtout attribuable aux avions d’affaires en raison de commandes d’avions des gammes Challenger et Global.

Bombardier Transport

  • Revenus de 1,9 milliard $
  • RAII de 118 millions $, ou 6,2 % des revenus
  • RAIIA de 150 millions $, ou 7,9 % des revenus
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 78 millions $
  • Nouvelles commandes totalisant 2,9 milliards $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5)
  • Carnet de commandes de 31,7 milliards $

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 30 juin 2012 ont totalisé 1,9 milliard $, comparativement à 2,7 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. Les revenus ont été touchés par l’achèvement de certains contrats, surtout en Asie-Pacifique et en Europe, tandis que des commandes importantes obtenues dans ces régions au cours des derniers trimestres en sont toujours à la phase de démarrage. La diminution est principalement attribuable à la baisse des activités de matériel roulant, étant donné que certains contrats de trains de banlieue et de trains régionaux, de locomotives, de métros, de trains interurbains et de systèmes de propulsion sont en voie d’achèvement, en partie contrebalancés par l’augmentation de la production dans certains contrats de véhicules légers sur rail.

Le RAII a atteint 118 millions $, ou 6,2 % des revenus, pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2012, en regard d’un RAII de 191 millions $, ou 7,2 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 1,0 point de pourcentage est surtout attribuable à une moins bonne absorption des charges de vente et d’administration et des charges de R et D et à une baisse de la marge brute totale de matériel roulant; en partie contrebalancées par une augmentation de la marge brute de services, un gain de 24 millions $ après l’achèvement de la phase d’élaboration d’un système et de la remise au client, qui a été comptabilisé dans les autres charges comme partie de notre revenu lié à des participations comptabilisés à la valeur de consolidation et une combinaison favorable de produits.

Pour le trimestre clos le 30 juin 2012, l’utilisation des flux de trésorerie disponibles a totalisé 78 millions $, comparativement à une utilisation de 473 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’amélioration de 395 millions $ est principalement attribuable à l’écart positif, par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent, de la variation nette des soldes hors caisse liés aux activités opérationnelles et au recul des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles; en partie contrebalancés par la baisse du RAIIA.

Les nouvelles commandes reçues au cours du deuxième trimestre clos le 30 juin 2012 ont totalisé 2,9 milliards $ pour un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5, comparativement à 3,9 milliards $ de nouvelles commandes et un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5 pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Le carnet de commandes de Bombardier Transport totalisait 31,7 milliards $ au 30 juin 2012, comparativement à 31,9 milliards $ au 31 décembre 2011. Le recul est attribuable à la dépréciation de la plupart des devises en regard du dollar américain au 30 juin 2012 comparativement au 31 décembre 2011, principalement l’euro et le réal brésilien; en partie contrebalancé par un plus grand montant de nouvelles commandes que de revenus comptabilisés.

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 30 septembre 2012 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 14 septembre 2012.

Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 14 septembre 2012 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 mai, 15 juin et 15 juillet 2012.

Actions privilégiées, série 3
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2012 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 12 octobre 2012.

Actions privilégiées, série 4
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2012 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 12 octobre 2012.

À propos de Bombardier Inc.
Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2011, nos revenus ont été de 18,3 milliards $ US. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Challenger, CRJ, CRJ900, CRJ1000, CSeries, FLEXITY, Global, Learjet, Learjet 85, L’évolution de la mobilité, NextGen, Q400 et ZEFIRO sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour information

Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Shirley Chénier
Directrice principale, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481

Le rapport de gestion et les états financiers intermédiaires consolidés sont disponibles à l’adresse Internet ir.bombardier.com.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient desénoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos projets, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance prévues; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer » ou « maintenir », la forme négative de ces termes, leurs variations, ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs respective des sections Sommaire, Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport du rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2011.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l’exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, au crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, au financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres du rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2011. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES DE CALCUL DES RÉSULTATS NON DÉFINIES PAR LES PCGR
Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes IFRS (principes comptables généralement reconnus (PCGR)), ainsi que sur le RAIIA et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit qu’un grand nombre d’utilisateurs du rapport de gestion analysent les résultats de la Société d’après ces mesures du rendement. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR dans le rapport de gestion pour les définitions et les rapprochements  avec les mesures les plus comparables des IFRS.