Bombardier annonce ses résultats financiers du deuxième trimestre terminé le 31 juillet 2011

(Tous les montants présentés dans ce communiqué sont en dollars américains, à moins d’indication contraire.)

  • Revenus consolidés de 4,7 milliards $, en regard de 4 milliards $ l’exercice précédent
  • RAII de 296 millions $, ou 6,2 % des revenus, en regard de 249 millions $, ou 6,2 %, l’exercice précédent
  • Résultat net de 211 millions $, comparativement à 138 millions $ l’exercice précédent
  • Résultat par action de 0,12 $, comparativement à 0,07 $ l’exercice précédent
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 1,1 milliard $, contre une utilisation de 562 millions $ l’exercice précédent
  • Situation de trésorerie de 3,2 milliards $, contre 4,2 milliards $ au 31 janvier 2011
  • Solide carnet de commandes de 56,9 milliards $, contre 52,7 milliards $ au 31 janvier 2011
  • Signature de 43 commandes fermes de la gamme d’avions CSeries d’une valeur totale de 2,8 milliards $ d’après les prix affichés
  • Renouvellement des facilités de lettres de crédit de BA et BT et de la facilité de crédit renouvelable à de meilleures conditions

Bombardier a publié aujourd’hui ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011. Ceci est la deuxième période de présentation de l’information intermédiaire selon les IFRS*. Les revenus ont augmenté de 17 % pour atteindre 4,7 milliards $, comparativement à 4 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat avant revenus de financement, charges de financement et impôts (RAII) a totalisé 296 millions $, en regard de 249 millions $ l’exercice précédent. La marge RAII est de 6,2 %, identique à celle de l’exercice précédent.

Le résultat net du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011 s’est chiffré à 211 millions $, comparativement à 138 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat par action dilué (RPA) a été de 0,12 $, comparativement à 0,07 $ l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes d’immobilisations corporelles et incorporelles) a totalisé 1,1 milliard $ pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à une utilisation de 562 millions $ l’exercice précédent. La situation de trésorerie était de 3,2 milliards $ au 31 juillet 2011, en regard de 4,2 milliards $ au 31 janvier 2011. L’ensemble du carnet de commandes totalisait 56,9 milliards $ au 31 juillet 2011, comparativement à 52,7 milliards $ au 31 janvier 2011.

« Nous avons généré de bons résultats au deuxième trimestre avec une augmentation des revenus, de la rentabilité et du résultat par action, a déclaré Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc.

« Le niveau d’activité de Bombardier Transport est resté solide et son ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5 dans un contexte de croissance des revenus au deuxième trimestre indique clairement la force du secteur. Alors que les niveaux de nouvelles commandes de Bombardier Aéronautique ont augmenté substantiellement d’une année sur l’autre, à la fois pour les avions d’affaires et les avions commerciaux CSeries, nous continuons de surveiller l’incertitude économique et la volatilité des marchés aux États-Unis et en Europe, a poursuivi M. Beaudoin.

« Les deux groupes étaient encore une fois ce trimestre dans une situation d’utilisation de flux de trésorerie disponibles, de sorte que nous devons continuer de nous concentrer sur l’exécution. Néanmoins, notre très important carnet de commandes totalisant 56,9 milliards $ et notre portefeuille d’excellents produits nous placent en bonne position pour les années à venir », a conclu M. Beaudoin.

En mai et juin 2011, Bombardier Transport et Bombardier Aéronautique ont renouvelé leurs facilités de lettres de crédit. Ces facilités ne nécessitent plus de garantie, permettant donc d’augmenter de 705 millions $ l’ensemble des liquidités de l’entreprise. Également en juin 2011, Bombardier Inc. a renouvelé à la hausse sa facilité de crédit renouvelable non garantie, la portant de 500 millions $ à 750 millions $. Elle viendra à échéance en juin 2014. Cette facilité de crédit renouvelable n’a pas été utilisée depuis sa mise en place.

Bombardier Aéronautique
Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,1 milliards $, comparativement à 1,9 milliard $ l’exercice précédent. Le RAII a totalisé 105 millions $, se traduisant en une marge RAII de 5 % pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 101 millions $, ou 5,2 %, l’exercice précédent.

L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a totalisé 448 millions $, comparativement à une utilisation de 343 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, reflétant les investissements continus du groupe dans ses programmes et un niveau plus faible d’avances clients. Compte tenu de l’incertitude économique aux États-Unis et en Europe, Bombardier Aéronautique s'attend à ce que le niveau d’avances clients continue d’être moins élevé que prévu initialement pour le présent exercice, principalement en raison du report de commandes dans le marché des avions régionaux. Par conséquent, les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles seront inférieurs à l'investissement net en dépenses en immobilisations du groupe, d’où une utilisation de flux de trésorerie disponibles pour le présent exercice.

Au total, 56 avions ont été livrés au cours du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 49 pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique a progressé de 20 % pour atteindre 23 milliards $ au 31 juillet 2011, comparativement à 19,2 milliards $ au 31 janvier 2011.

D’après le plus récent rapport de la General Aviation Manufacturers Association (GAMA) pour le premier semestre de l’année civile 2011, Bombardier Aéronautique est encore une fois le leader de l’industrie des avions d’affaires, à la fois en fonction des revenus et en fonction du nombre de livraisons, dans les catégories de marché où il livre concurrence. La division Avions d’affaires a continué à engranger un nombre croissant de commandes au cours du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011 avec 43 commandes nettes, contre 14 pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Cela inclut une commande ferme de VistaJet de Suisse portant sur dix appareils Global 8000, d’une valeur de 650 millions $ d’après les prix affichés.

Au cours du deuxième trimestre, Bombardier Aéronautique a reçu 43 commandes nettes d’avions de la gamme CSeries, d’une valeur de 2,8 milliards $ d’après les prix affichés. Parmi celles-ci, une commande ferme de Korean Air portant sur dix appareils CS300, avec des options sur dix avions CS300, faisant de ce transporteur aérien le client de lancement des avions CSeries en Asie. Il y avait 133 commandes fermes d’appareils CSeries et 119 options au 31 juillet 2011.

Bombardier Transport
Bombardier Transport a enregistré une hausse de 26 % de ses revenus pour atteindre 2,7 milliards $ au deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 2,1 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII a été de 191 millions $, comparativement à 148 millions $ l’exercice précédent, qui s’est traduit en une marge RAII de 7,2 %, contre 7 % l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles a été de 473 millions $ au deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à une utilisation de 122 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes totalisait 33,9 milliards $ au 31 juillet 2011, contre 33,5 milliards $ au 31 janvier 2011.

Les commandes dans l’industrie du transport continuent d’affluer pour l’ensemble des grands clients européens, et Bombardier Transport continue de démontrer son leadership dans le marché. Au cours du deuxième trimestre, Bombardier Transport a engrangé 3,9 milliards $ de nouvelles commandes, pour un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5, contre 4,3 milliards $ de nouvelles commandes l’exercice précédent.

Les commandes incluaient un partenariat avec Siemens AG, d’Allemagne, pour développer et fournir des composants de trains à grande vitesse ICx pour un contrat avec la Deustche Bahn (DB), pour lequel une commande ferme a été obtenue pour fabriquer 130 trains évaluée à 1,8 milliard $. Bombardier Transport a également remporté une commande du Métro de Londres pour un système de signalisation CITYFLO 650 CBTC d’une valeur de 577 millions $ ainsi qu‘une commande du gouvernement de l’État du Queensland, en Australie, pour la réalisation du système de transport léger sur rail Gold Coast Rapid Transit, doublé d’un contrat de maintenance de 15 ans, pour une valeur totale de 265 millions $.

Au cours du trimestre, Bombardier Transport a également signé un accord-cadre avec DB Regio AG, d’Allemagne, portant sur 200 locomotives multimoteurs diesels TRAXX, d’une valeur estimative de 867 millions $. Dans le cadre de cet accord, une commande ferme de 20 locomotives d’une valeur de 90 millions $ a été reçue.

Après la fin du deuxième trimestre, la Chicago Transit Authority (CTA), aux États-Unis, a exercé une option pour commander 300 voitures de métro additionnelles, évaluées à 331 millions $.

Faits saillants financiers
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Résultats financiers du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011

ANALYSE DES RÉSULTATS

Résultats consolidés

Les revenus consolidés du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011 ont totalisé 4,7 milliards $, en regard de 4 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. Pour le semestre clos le 31 juillet 2011, les revenus consolidés se sont chiffrés à 9,4 milliards $, contre 8,3 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Le RAII pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011 s’est chiffré à 296 millions $, ou 6,2 % des revenus, en regard d’un RAII de 249 millions $, ou 6,2 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent. Pour le semestre clos le 31 juillet 2011, le RAII a totalisé 608 millions $, ou 6,5 % des revenus, comparativement à un RAII de 528 millions $, ou 6,4 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Les charges nettes de financement ont totalisé 35 millions $ pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 66 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 31 millions $ est essentiellement attribuable à la baisse des charges nettes de financement liées aux avantages de retraite, à la diminution de la charge de désactualisation des provisions et des autres passifs financiers et à un gain net sur certains instruments financiers. Pour le semestre clos le 31 juillet 2011, les charges nettes de financement se sont chiffrées à 71 millions $, comparativement à 109 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 38 millions $ est principalement attribuable à la baisse des charges nettes de financement liées aux avantages de retraite.

Pour le trimestre et le semestre clos le 31 juillet 2011, le taux d’imposition effectif a été respectivement de 19,2 % et 19,7 %, comparativement au taux d’imposition prévu par la loi de 28,4 %. Les taux d’imposition effectifs plus faibles sont principalement attribuables à l’incidence positive de la comptabilisation de montants au titre des économies fiscales liées aux pertes opérationnelles et aux différences temporelles, en partie contrebalancées par des différences permanentes.

Il en a découlé un résultat net de 211 millions $, ou 0,12 $ par action, pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 138 millions $, ou 0,07 $ par action, pour la période correspondante de l’exercice précédent. Pour le premier semestre clos le 31 juillet 2011, le résultat net s’est chiffré à 431 millions $, ou 0,24 $ par action, comparativement à 333 millions $, ou 0,18 $ par action, pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Pour le trimestre clos le 31 juillet 2011, l’utilisation de flux de trésorerie disponibles s’est chiffrée à 1,1 milliard $, en regard d’une utilisation de 562 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. Pour le semestre clos le 31 juillet 2011, l’utilisation de flux de trésorerie disponibles a totalisé 1,5 milliard $, en regard d’une utilisation de 779 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent.

Au 31 juillet 2011, le carnet de commandes de Bombardier s’établissait à 56,9 milliards $, comparativement à 52,7 milliards $ au 31 janvier 2011.

Bombardier Aéronautique

  • Revenus de 2,1 milliards $
  • RAIIA de 149 millions $, ou 7,1 % des revenus
  • RAII de 105 millions $, ou 5 % des revenus
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 448 millions $
  • Livraisons de 56 avions
  • Commandes nettes de 86 avions
  • Carnet de commandes de 23 milliards $
  • Signature de 43 commandes fermes d’avions de la gamme CSeries d’une valeur totale de 2,8 milliards $ d’après les prix affichés

Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,1 milliards $ pour le trimestre clos le 31 juillet 2011, contre 1,9 milliard $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. Cette augmentation est essentiellement attribuable à l’accroissement des revenus de fabrication résultant du plus grand nombre de livraisons d’avions d’affaires et d’avions commerciaux, à l’augmentation des ventes liées aux pièces et services et à la hausse des revenus d’entretien d’avions.

Le RAII a totalisé 105 millions $, ou 5 % des revenus, pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, en regard de 101 millions $, ou 5,2 %, pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 0,2 point de pourcentage est principalement attribuable à la hausse du coût des ventes par avion (essentiellement attribuable à la progression des prix des matériaux) et à la baisse des autres revenus (surtout en raison d’un écart net négatif découlant d’instruments financiers évalués à la juste valeur), en partie contrebalancées par la diminution des charges de R&D (surtout attribuable à la baisse de l’amortissement de l’outillage des programmes par suite du remplacement du mode d’amortissement linéaire par un mode basé sur le nombre d’unités produites), à l’amélioration des marges tirées des pièces et services et à une meilleure absorption des charges de vente et d’administration.

Pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, l’utilisation de flux de trésorerie disponibles a totalisé 448 millions $, par rapport à une utilisation de 343 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 105 millions $ est essentiellement attribuable à l’accroissement des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles attribuables à nos investissements importants dans de nouveaux produits.

Pour le trimestre clos le 31 juillet 2011, le nombre total de livraisons d’avions s’est élevé à 56, comparativement à 49 pour la période correspondante de l’exercice précédent. Les 56 livraisons étaient composées de 35 avions d’affaires, de 20 avions commerciaux et de 1 avion amphibie (30 avions d’affaires, 18 avions commerciaux et 1 avion amphibie pour la période correspondante de l’exercice précédent).

Bombardier Aéronautique a reçu 86 commandes nettes au cours du trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à 29 au cours de la période correspondante de l’exercice précédent. Les 86 commandes nettes étaient composées de 43 commandes nettes d’avions d’affaires, (56 nouvelles commandes et 13 annulations) et de 43 nouvelles commandes d’avions commerciaux (14 commandes nettes d’avions d’affaires et 15 nouvelles commandes d’avions commerciaux pour la période correspondante de l’exercice précédent).

Le carnet de commandes fermes de Bombardier Aéronautique totalisait 23 milliards $ au 31 juillet 2011, en regard de 19,2 milliards $ au 31 janvier 2011. L’augmentation de 20 % du carnet de commandes est principalement attribuable à l’accroissement du nombre de commandes de grands avions d’affaires et d’avions de la gamme CSeries, en partie contrebalancé par une baisse du carnet de commandes de biturbopropulseurs et de biréacteurs régionaux.

Bombardier Transport

  • Revenus de 2,7 milliards $
  • RAIIA de 225 millions $, ou 8,5 % des revenus
  • RAII de 191 millions $, ou 7,2 % des revenus
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles de 473 millions $
  • Nouvelles commandes totalisant 3,9 milliards $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5)
  • Carnet de commandes de 33,9 milliards $

Les revenus de Bombardier Transport ont totalisé 2,7 milliards $ pour le trimestre clos le 31 juillet 2011, en regard de 2,1 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. L’augmentation est principalement attribuable à une hausse des activités liées au matériel roulant en raison de l’accélération de la production des contrats existants et de nouvelles commandes pour les voitures de métro en Europe et en Asie, le transport en commun et les locomotives en Amérique du Nord, les trains de banlieue et les trains régionaux principalement en Europe, les locomotives en Europe, les trains interurbains, les trains à grande vitesse et les trains à très grande vitesse en Europe; en partie contrebalancée par le ralentissement des activités découlant de l’achèvement progressif des contrats existants avant l’accélération de la production de nouveaux contrats pour du matériel roulant en Asie; des véhicules légers sur rail en Europe et des systèmes de propulsion et contrôles. Cette augmentation reflète également une incidence positive des taux de change.

Le RAII a totalisé 191 millions $, ou 7,2 % des revenus, pour le deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011, comparativement à un RAII de 148 millions $, ou 7 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’augmentation de 0,2 point de pourcentage est surtout attribuable à une meilleure absorption des charges de vente et d’administration et des charges de R&D, en partie contrebalancée par la marge moins élevée enregistrée en raison d’une composition des contrats défavorable à court terme et au calendrier des nouvelles commandes.

L’utilisation de flux de trésorerie disponibles pour le trimestre clos le 31 juillet 2011 a été de 473 millions $, comparativement à une utilisation de 122 millions $ pour la période correspondante de l’exercice précédent. La diminution de 351 millions $ est essentiellement attribuable à l’écart négatif, par rapport au trimestre correspondant de l’exercice précédent, de la variation nette des soldes hors caisse liés aux activités opérationnelles.

Les nouvelles commandes reçues au cours du deuxième trimestre clos le 31 juillet 2011 ont totalisé 3,9 milliards $, reflétant un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,5, en regard de 4,3 milliards $ pour la période correspondante de l’exercice.  

Le carnet de commandes de Bombardier Transport totalisait 33,9 milliards $ au 31 juillet 2011, en regard de 33,5 milliards $ au 31 janvier 2011. L’augmentation de 0,4 milliard $ est attribuable au raffermissement de la plupart des devises, principalement l’euro, en regard du dollar américain au 31 juillet 2011 comparativement au 31 janvier 2011.

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 31 octobre 2011 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le
14 octobre 2011.
Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 14 octobre 2011 ont aussi droit à un dividende prioritaire de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 juin, 15 juillet et 15 août 2011.

Actions privilégiées, série 3
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,32919 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2011 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 14 octobre 2011.

Actions privilégiées, série 4
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2011 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 14 octobre 2011.

* Les données comparatives ont été retraitées pour se conformer aux normes IFRS.

À propos de Bombardier
Entreprise d’envergure internationale dont le siège social est situé au Canada, Bombardier Inc. est un chef de file mondial en solutions de transport novatrices, dans les secteurs des avions commerciaux et avions d’affaires, ainsi que dans ceux du matériel et des systèmes de transport sur rail et services connexes. Ses revenus pour l’exercice clos le 31 janvier 2011 s’élevaient à 17,7 milliards $ et ses actions se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Bombardier fait partie des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour plus d’information, vous pouvez consulter le site www.bombardier.com ou nous suivre sur Twitter @Bombardier.

CS300, CSeries, CITYFLO, Global, Global 8000 et TRAXX sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Sources d’information

Isabelle Rondeau                               Shirley Chénier
Directrice, Communication               Directrice principale, Relations avec les investisseurs
+514-861-9481                                   +514-861-9481

www.bombardier.com

Le rapport de gestion et les états financiers consolidés sont disponibles à l’adresse Internet www.bombardier.com.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos cibles, nos buts, nos priorités et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos projets, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de la conjoncture économique et de la conjoncture commerciale, les perspectives et les tendances de l’industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance prévues; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », la forme négative de ces termes, leurs variations, ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué de presse, se reporter aux rubriques Énoncés prospectifs respectives des sections Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport du rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l’exercice 2011.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l’exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, au financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du rapport de gestion de la Société et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément par cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES DE CALCUL DES RÉSULTATS NON DÉFINIES PAR LES PCGR
Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS) et sur le RAIIA et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit qu’un grand nombre d’utilisateurs de son rapport de gestion analysent les résultats de la Société d’après ces mesures du rendement et que cette présentation est conforme aux pratiques de l’industrie.