Bombardier annonce ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2013

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables aux IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la Mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse. Les données comparatives ont été retraitées. Voir la Note 1 du tableau de Faits saillants financiers.)

• Revenus de 4,1 milliards $, comparativement à 4,2 milliards $ l’exercice précédent
• RAII de 210 millions $, ou 5,2 % des revenus, comparativement à 240 millions $, ou 5,7 %, l’exercice précédent
• Résultat net ajusté⁽¹⁾ de 165 millions $ (RPA ajusté⁽¹⁾ de 0,09 $), comparativement à 173 millions $ (RPA ajusté de 0,09 $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
• Résultat net de 147 millions $ (RPA dilué de 0,08 $), comparativement à 172 millions $ (RPA dilué de 0,09 $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
• Utilisation de flux de trésorerie disponibles⁽¹⁾ de 522 millions $, comparativement à une utilisation de 187 millions $ l’exercice précédent
• Sources de financement disponibles à court terme de 4,0 milliards $ au 30 septembre 2013, y compris la trésorerie et les équivalents de trésorerie de 2,6 milliards $, les mêmes montants qu’au 31 décembre 2012
• Carnet de commandes de 65,5 milliards $ au 30 septembre 2013, comparativement à 64,9 milliards $ au 31 décembre 2012

 ⁽¹⁾        Voir la Mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers du troisième trimestre clos le 30 septembre 2013. Les revenus du trimestre ont totalisé 4,1 milliards $, en regard de 4,2 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) du troisième trimestre clos le 30 septembre 2013 a totalisé 210 millions $, ou 5,2 % des revenus, comparativement à 240 millions $, ou 5,7 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Sur une base ajustée, le résultat net du troisième trimestre clos le 30 septembre 2013 a été de 165 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,09 $, comparativement à 173 millions $, ou un RPA de 0,09 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Pour le trimestre clos le 30 septembre 2013, l’utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes d’immobilisations corporelles et incorporelles) s’est élevée à 522 millions $, comparativement à une utilisation de 187 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Au 30 septembre 2013, les sources de financement disponibles à court terme de 4,0 milliards $ incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 2,6 milliards $, les mêmes montants qu’au 31 décembre 2012. Le carnet de commandes global a atteint 65,5 milliards $ au 30 septembre 2013, en regard de 64,9 milliards $ au 31 décembre 2012.

« Chez Aéronautique, les résultats sont conformes à nos prévisions, mais le faible nombre de nouvelles commandes et les conditions globales du marché ont été décevants, a dit Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc. En septembre, le CSeries a réalisé son vol inaugural, démarrant ainsi le programme intensif d’essais en vol.

« Nos revenus de Transport ont progressé et les flux de trésorerie disponibles se sont aussi légèrement améliorés. Le marché dans son ensemble demeure résilient et, comme le démontrent quelques-unes des commandes remportées au cours du trimestre, notre solide pénétration de nouvelles régions se poursuit.

« Nos importants investissements soutenus dans le développement de nouveaux produits jumelés à notre carnet de commandes de 65,5 milliards $ sont les éléments clés permettant à notre fort potentiel de croissance de prendre forme », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier Inc. a également annoncé la nomination de monsieur Patrick Pichette comme membre de son conseil d’administration. M. Pichette est chef de la direction financière de Google Inc. Il a été chez Bell Canada de 2001 à 2008, période pendant laquelle il a occupé plusieurs postes de direction, dont celui de chef de la direction financière. Avant Bell Canada, M. Pichette était associé chez McKinsey & Company. Il détient un baccalauréat en administration des affaires de l’Université du Québec à Montréal. Il est également titulaire d’une maîtrise en philosophie, politique et économie de l’Université d’Oxford, où il était boursier Rhodes.

Bombardier Aéronautique

Les revenus de Bombardier Aéronautique ont totalisé 2,0 milliards $ pour le trimestre clos le 30 septembre 2013, comparativement à 2,3 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII a totalisé 86 millions $, ou 4,3 % des revenus, pour le troisième trimestre clos le 30 septembre 2013, comparativement à 118 millions $, ou 5,2 %, pour le trimestre correspondant l’exercice précédent.

L’utilisation de flux de trésorerie disponibles s’est élevée à 406 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 585 millions $) pour le troisième trimestre clos le 30 septembre 2013, comparativement à une utilisation de 68 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 543 millions $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Aéronautique a livré 45 avions au cours du troisième trimestre clos le 30 septembre 2013, comparativement à 57 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent, et reçu 26 commandes nettes au cours du troisième trimestre, comparativement à 83 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Chez Avions commerciaux, un protocole d’entente a été signé avec Rosteckhnologii (Rostec), société d’État contrôlée par la Fédération de Russie, pour valider la possibilité de mettre en place en Russie une chaîne d’assemblage final d’avionsQ400 NextGen. Parallèlement, une lettre d’intention a été signée avec Rostec pour la vente de 50 biturbopropulseurs Q400 NextGen. Une lettre d’intention a aussi été signée avec Ilyushin Finance Co. pour la vente de 50 biturbopropulseurs Q400 NextGen. Au prix affiché, les lettres d’intention pour 100 biturbopropulseurs Q400 NextGen sont évaluées à 3,4 milliards $.

Au cours du troisième trimestre, Bombardier a signé une entente pour la vente des activités de Flexjet à une société nouvellement créée, Flexjet, LLC, détenue par un groupe mené par Directional Aviation Capital. Le prix d’achat est de 185 millions $, et la transaction, assujettie à l'approbation de toutes les autorités réglementaires nécessaires et aux autres conditions habituelles de clôture, devrait se clore avant la fin de l’année.

En lien avec cette transaction, Flexjet, LLC a placé des commandes conditionnelles portant sur 85 avions de la gammeLearjet et 30 avions de la gamme Challenger, assorties d’options sur 150 autres avions d’affaires. Aux prix affichés, la valeur des commandes conditionnelles est de 2,4 milliards $, compte non tenu des options.

Après la fin du trimestre, Bombardier Aéronautique a annoncé que CDB Leasing Co., Ltd. de Chine est le client qui souhaitait garder l’anonymat relativement à l’entente conditionnelle d’achat de 5 avions CS100 et de 10 avions CS300. Cette entente comprend également des options sur 5 autres avions CS100 et 10 autres avions CS300 pour un total d’un maximum de 30 avions CSeries. Aux prix affichés, la commande conditionnelle est évaluée à environ 1 milliard $ et pourrait passer à 2,1 milliards $ si les 15 options sont exercées. Cela porte le total des commandes et engagements dans le cadre du programme CSeries à 403 avions avec 15 clients et exploitants.

Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique totalisait 32,9 milliards $ au 30 septembre 2013, le même montant qu’au 31 décembre 2012.

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport du trimestre clos le 30 septembre 2013 ont été de 2,1 milliards $, en regard de 1,9 milliard $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII a totalisé 124 millions $, ou 6,0 % des revenus, comparativement à 122 millions $, ou 6,3 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 30 septembre 2013 a totalisé 5 millions $, comparativement à une utilisation de 58 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le total des nouvelles commandes a atteint 1,7 milliard $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,8), comparativement à 2,2 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le carnet de commandes totalisait 32,6 milliards $ au 30 septembre 2013, comparativement à 32,0 milliards $ au 31 décembre 2012.

Au cours du troisième trimestre, Bombardier Transport a remporté plusieurs commandes couvrant l’ensemble des divisions et des régions, incluant un contrat à titre de membre du consortium ArRiyadh New Mobility pour fournir la technologie de la nouvelle ligne de métro numéro 3 de Riyad, au Royaume d’Arabie saoudite. Le contrat inclut la gestion de l’interface du système, la gestion et la conception de projet ainsi que la livraison de 47 rames de deux voitures de métro sans conducteur INNOVIA Metro 300 équipées de la technologie de propulsion MITRAC. La part du contrat de Bombardier Transport est évaluée à environ 383 millions $.

Bombardier Transport a également reçu une commande de Deutsche Bahn AG, d’Allemagne, portant sur 18 rames de voitures électriques à deux étages TWINDEXX, évaluée à 289 millions $, ainsi qu’une commande de Southern Railway, du Royaume-Uni, portant sur 116 voitures ELECTROSTAR, évaluée à 274 millions $, y compris une entente de soutien des pièces de rechange.

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B

Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 31 décembre 2013 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 13 décembre 2013.
Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 13 décembre 2013 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2

Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 août, 15 septembre et 15 octobre 2013.

Actions privilégiées, série 3

Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 janvier 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 janvier 2014.

Actions privilégiées, série 4

Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 janvier 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 janvier 2014.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership mondial en transport résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2012, nos revenus ont été de 16,8 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Bombardier, Challenger, CS100, CS300, CSeries, ELECTROSTAR, Flexjet, INNOVIA, Learjet, L’évolution de la mobilité, MITRAC, NextGen, Q400 et TWINDEXX sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Le rapport de gestion et les états financiers intermédiaires consolidés sont disponibles à ri.bombardier.com.

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme «pouvoir», «prévoir», «devoir», «avoir l’intention de», «estimer», «planifier», «entrevoir», «croire», «continuer», «maintenir» ou «aligner», la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour plus de détails sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs posées dans ce communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Bombardier Aéronautique et Bombardier Transport dans le rapport de gestion du rapport annuel de la Société pour l'exercice clos le 31 décembre 2012.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l’exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport annuel pour l’exercice clos le 31 décembre 2012. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et la marge RAII avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent principalement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos états financiers consolidés intermédiaires une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement dans le rapport de gestion de la Société pour les définitions de ces mesures et les rapprochements avec les mesures les plus comparables des IFRS.