Bombardier annonce ses résultats financiers pour l’exercice 2019

  • Retrait de l’industrie aéronautique commerciale complété avec la vente du solde de la participation dans le partenariat A220 pour un produit en trésorerie de ~ 600 millions $, et l’élimination d’investissements futurs totalisant 700 millions $(1)
  • Encaisse pro forma(1)  de plus de 4 G$, incluant toutes les opérations antérieurement annoncées, améliorant la situation de financière
  • Entreprise continuant d’examiner activement des options stratégiques pour accélérer le désendettement
  • Résultats du quatrième trimestre et de l’exercice conformes aux résultats préliminaires annoncés antérieurement
  • Perspectives 2020 sur base consolidée: croissance interne(3) des revenus à deux chiffres pour s’établir à plus de 15 milliards $(1)
  • Prévisions pour 2020 sur base consolidée: marge RAIIA(2) ajustée de ~ 7,0 %, marge RAII ajustée(2) de ~3,5 %(1)
  • Prévision pour 2020 sur base consolidée de flux de trésorerie disponibles(2) positifs, compte non tenu des paiements en vertu des garanties de valeur résiduelle(1)

Bombardier (TSX: BBD.B) a présenté aujourd’hui ses résultats pour le quatrième trimestre et l’exercice, lesquels sont conformes aux résultats préliminaires annoncés antérieurement. L’entreprise a aussi confirmé qu’elle étudie toujours activement des options pour accélérer son désendettement, renforcer son bilan et améliorer la valeur pour les actionnaires.

Vente de la participation dans le partenariat A220

Bombardier a conclu une entente avec Airbus SE et le gouvernement du Québec, en vertu de laquelle Bombardier a transféré ses actions de la Société en commandite Airbus Canada (SCAC) à Airbus et au gouvernement du Québec, améliorant la situation de trésorerie de Bombardier. Cela inclut un produit en trésorerie de ~600 millions $ de Airbus duquel 531 millions $ ont été versés au moment de la clôture, le solde devant être payé sur 2020-2021, et l’élimination toute les futures exigences de capitaux pour le programme A220 estimées à ~700 millions $. (1)

Bombardier transférera aussi ses activités liées aux aérostructures et ses employés soutenant les avions A220 et A330 de Saint-Laurent, au Québec à la filiale d’Airbus Stelia Aerospace. Enfin, l’entente prévoit l’annulation des bons de souscription visant un total de 100 000 000 actions Classe B de Bombardier détenus par Airbus.

La décision de Bombardier de vendre sa participation dans le partenariat A220 complète son retrait de l’industrie aéronautique commerciale, une initiative importante. En 2016, les activités aéronautiques commerciales de Bombardier ont perdu environ 400 millions $ et utilisé plus de 1 milliard $ de trésorerie. S’attaquer à ce portefeuille difficile a été une étape essentielle du plan de redressement de l’entreprise.

« Nous sommes extrêmement fiers de nos nombreuses réalisations et de l’impact considérable que Bombardier a exercé sur l’aviation civile commerciale, a déclaré Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Nous sommes également fiers de nous retirer de l'industrie aeronautique commerciale de manière responsable, en préservant les emplois et en renforçant la grappe aéronautique au Québec et au Canada. Nous sommes convaincus que le programme A220 connaîtra un long parcours fructueux sous la gestion d’Airbus et du gouvernement du Québec. »

Accélération de la phase de désendettement du plan de redressement

La vente de notre participation dans SCAC, combine avec les cessions aéronautiques antérieurement annoncées, générera plus de 1,6 milliards $ de produit en trésorerie et éliminera près de 2 milliards$ de passifs et engagements futurs. Les liquidités demeurent solides, avec une encaisse pro forma de plus de 4 milliards $ et des liquidités de 5,5 milliards $, fournissant la flexibilité nécessaire pour achever le redressement de l'entreprise. La vente du programme CRJ à Mitsubishi Heavy Industries et celle des activités liées aux aérostructures à Spirit AeroSystems, Holding Inc devraient être closes au cours du premier semestre de 2020. (1)

Comme cela a été annoncé précédemment, Bombardier continue activement d’examiner des options qui lui permettraient d’accélérer le désendettement, de rembourser la dette et de placer l’entreprise en position de connaître du succès à long terme avec une plus grande flexibilité financière et opérationnelle. Ce processus se poursuit, même si l’entreprise n’a pas l’intention de fournir d'autres mises à jour pour le moment.

Sommaire des résultats financiers

Les revenus consolidés de Bombardier pour l’exercice ont totalisé 15,8 milliards $, grâce à une croissance de 8,5 % des activités liées aux avions d’affaires. La croissance des revenus d’Aviation a été contrebalancée par une contribution moins élevée des activités liées aux avions commerciaux après leurs cessions. Les revenus de Transport ont aussi diminué par suite principalement d’ajustements aux estimations de contrats.

Le RAIIA ajusté et le RAII ajusté sur base consolidée pour l’exercice ont été respectivement de 896 millions $ et 470 millions $, reflétant (i) les améliorations apportées au sein d’Aviation alors que Bombardier sort des programmes d’avions commerciaux sous-performants et accélère la cadence de production d’avions Global 7500 ; (ii) des charges et des investissements additionnels chez Transport pour mener à bien des projets complexes. Le RAII négatif présenté pour l’exercice de 498 millions $ comprend une charge de dépréciation de 1,6 milliard $ reliée aux investissements dans SCAC.

Les liquidités générées au quatrième trimestre ont atteint 1,0 milliard $, réduisant l’utilisation de flux de trésorerie disponibles à 1,2 milliard $ pour l’exercice. L’utilisation des flux de trésorerie plus élevée que prévue a découlé des investissements additionnels réalisés pour soutenir des projets ferroviaires complexes et pallier le report de livraisons, surtout chez Transport. L’utilisation des flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles s’est établie à 680 millions $ pour l’exercice.

Perspectives 2020

En 2020, les revenus de nos activités durables liées aux avions d’affaires et à Transport devraient enregistrer une croissance interne d’un pourcentage à deux chiffres et être supérieurs aux 13,7 milliards $ de revenus comptabilisés pour ces activités en 2019.(1)  Cette solide croissance découle principalement de l’accélération des livraisons d’avions Global 7500 contribuant à un total de 160 avions ou plus pour l’exercice chez Aviation. La croissance des revenus, sur base consolidée, est aussi soutenue par l’accélération de la cadence de production en cours chez Transport entraînée par les solides commandes remportées ces dernières années.

Le RAIIA ajusté et le RAII ajusté devraient augmenter pour s’établir à respectivement environ 7,0 % et 3,5 %, surtout en raison de l’accélération des livraisons d’avions Global 7500 chez Aviation et d’une normalisation graduelle des marges chez Transport. La hausse de la marge RAII ajustée inclut un montant d’amortissement plus élevé alors que le nombre de livraisons d’avions Global 7500 augmente. Les perspectives sur le plan des résultats pour l’exercice reflètent la contribution de l’année partielle des cessions en cours du programme CRJ et des activités liées aux aérostructures. (1)

Les flux de trésorerie disponibles devraient être positifs en 2020, compte non tenu des paiements à faire en vertu des garanties de crédit et des garanties de valeur résiduelle. Ces passifs résiduels liés au retrait de Bombardier du secteur des avions commerciaux sont estimés à environ 200 millions $ pour l’exercice, et devraient être payés à même le produit de la transaction portant sur les CRJ. (1)

Principaux résultats (PDF)

RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS

Aviation

Résulats (PDF)

Performance financière plus robuste et redéfinition du portefeuille du secteur Aviation        

  • Les revenus du secteur Aviation ont totalisé 7,5 milliards $ pour 2019, reflétant une croissance de 8,5 % par rapport à ceux tirés des activités relatives aux avions d’affaires et une croissance interne à deux chiffres de ceux tirés des services après-vente.
  • Le secteur a réalisé 175 livraisons d’avions au cours de l’exercice, constituées de 54 avions Global, 76 avions Challenger et 12 avions Learjet, ainsi que 33 avions commerciaux.
    • Le niveau d’activité a été élevé au cours du quatrième trimestre, atteignant 52 livraisons d’avions d’affaires en raison d’une accélération des livraisons d’avions Global 7500.
  • La marge RAIIA ajustée s’est établie à 10,8 % pour l’exercice, en hausse de 200 pdb stimulée par le fait que la Société s’est départie des programmes d’avions Q400 et C Series. Cette rentabilité a tout de même été diluée en 2019 par les activités liées aux avions CRJ dont les revenus se sont élevés à 1,2 milliard $ pour l’exercice.
  • La marge RAII ajustée de 7,1 % a augmenté de 70 pdb sur douze mois, reflétant l’accélération de la cadence de production des premières unités et la hausse de l’amortissement associées aux livraisons d’avions Global 7500 ainsi que la dilution attribuable aux activités liées aux avions commerciaux.
  • Le carnet de commandes d’avions d’affaires a légèrement augmenté pour un deuxième exercice d’affilée atteignant 14,4 milliards $ à la fin de l’exercice, tandis que le carnet de commandes d’avions CRJ a diminué, la production touchant à sa fin.

Accent mis sur les avions d’affaires tout en s’occupant des programmes moins performants

  • En février 2019, la Société a fait l’acquisition des activités et des actifs liés au programme de fabrication d’aile d’avion Global 7500 de Triumph Group Inc. Cette transaction a permis à la Société de tirer parti de sa vaste expertise technique pour soutenir l’accélération de la cadence de production de l’avion Global 7500, et assurer son succès à long terme.
  • En mars 2019, nous avons conclu la vente à CAE Inc. des activités de formation des pilotes et des techniciens d’Avions d’affaires, pour un produit net de 532 millions $.
  • En mai 2019, nous avons conclu la vente annoncée précédemment des actifs du programme d’avions Q Series, y compris les activités et les actifs de services après-vente, à De Havilland Aircraft of Canada, pour un produit net de 285 millions $.
  • En juin 2019, la Société a conclu une entente définitive avec Mitsubishi Heavy Industries, Ltd. (MHI) visant la vente de son programme de biréacteurs régionaux, pour une contrepartie en trésorerie de 550 millions $ à verser à la Société à la clôture. De plus, MHI assumera des passifs s’élevant approximativement à 200 millions $ liés à des garanties de crédit et de valeur résiduelle ainsi qu’à des mesures incitatives à la location. À l’heure actuelle, la clôture de la transaction est prévue d’ici le milieu de 2020, sous réserve de l’approbation des organismes de réglementation et des conditions de clôture habituelles.
  • En octobre 2019, la Société et Spirit AeroSystems Holding, Inc. (Spirit) ont annoncé qu’elles avaient conclu une entente définitive en vertu de laquelle Spirit acquerra les activités de Bombardier liées aux aérostructures et aux services après-vente de Belfast, au R.-U., et de Casablanca, au Maroc, ainsi que les installations d’aérostructures de maintenance, de réparation et de remise à neuf de composants de Dallas, aux É.-U., pour une contrepartie en espèces de 500 millions $ et la prise en charge de passifs s’élevant approximativement à 700 millions $, y compris des avances gouvernementales remboursables et des passifs de retraite. La clôture de la transaction est prévue d’ici le milieu de 2020, sous réserve de l’approbation des organismes de réglementation et des conditions de clôture habituelles.

Position de croissance grâce à la certification et à l’accélération des nouveaux programmes et de l’expansion du réseau de services

  • L’avion Global 7500, avion emblématique de sa catégorie, a atteint la pleine cadence de production. Avec l’augmentation des livraisons, l’avion Global 7500 devrait contribuer grandement à la croissance des revenus en 2020. Au fur et à mesure que l’avion progressera sur la courbe d’apprentissage, il contribuera également à l’augmentation des marges.
  • Certification des nouveaux avions Global 5500 et Global 6500, suivie de la MES de l’avion Global 6500 en 2019, lequel offre aux clients la combinaison parfaite alliant autonomie, vitesse, performance et vol en douceur.
  • Croissance continue et stable des activités de services après-vente, avec la poursuite de l’expansion du réseau de services à Singapour prévue en 2020.

Transport

Résulats (PDF)

Résultats financiers de l’exercice complet reflétant les mesures et initiatives prises pour aller de l’avant et mener à bien des projets complexes

  • Au cours du dernier exercice, Transport a poursuivi son redressement en réalignant la production et en révisant certains calendriers de livraison de projets, tout en investissant pour appuyer l’amélioration de la fiabilité en service et en finançant l’augmentation des capacités d’ingénierie et de production. Les coûts plus élevés que prévu pour mettre en œuvre ces initiatives et pour soutenir les projets en redressement et en voie d’achèvement principalement situés au R.-U., en Suisse et en Allemagne ont entraîné une baisse des résultats et des flux de trésorerie disponibles(1) du secteur.
    • Modifications des estimations de coûts de plus de 500 millions $ incluses dans les résultats de 2019
  • Fin de la livraison de plusieurs projets d’envergure en redressement, y compris la Metropolitan Transportation Authority (MTA) dans la ville de New York, Crossrail au R.-U. et la Toronto Transit Commission (TTC) à Toronto.
  • En fin d’exercice, Transport a aussi réalisé des progrès en franchissant les étapes clés d’autres projets d’envergure, notamment l’amélioration considérable de la fiabilité en service des Chemins de fer fédéraux suisses (CFF) en Suisse et l’homologation du logiciel des rames automotrices du projet LoTrain au R.-U., ouvrant ainsi la voie à la livraison de trains de ce projet et à d’autres contrats visant les voitures AVENTRA au R.-U.

Amélioration du carnet de commandes plaçant Transport en position de dégager de meilleurs résultats financiers

  • Transport a continué de croître et d’améliorer la qualité de son carnet de commandes en affichant des nouvelles commandes totalisant 10,0 milliards $ et un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,2 pour l’exercice. Le carnet de commandes atteignait 35,8 milliards $ à la clôture de l’exercice.
  • Environ 70 % des commandes de 2019 découlent de contrats de services, de projets de signalisation et d’options sur des projets de matériel roulant, lesquels comportent un risque d’exécution moindre. La part du carnet de commandes liée aux contrats de services et de signalisation a augmenté pour atteindre 48 % (42 % un an plus tôt).

Efforts axés sur une meilleure exécution des projets pour améliorer la performance financière durablement

  • La nomination de Danny Di Perna à titre de président de Bombardier Transport en février 2019 a permis de mettre davantage l’accent sur les relations avec les clients et sur l’exécution disciplinée des projets.
    • Renforcement de l’équipe de direction de Transport avec la nomination d’un nouveau chef, Ingénierie et de nouveaux présidents régionaux, afin de mieux respecter les engagements pris envers les clients.
  • Priorités claires de la direction – les efforts visent une forte accélération de la cadence de production au R.-U. et en France, la fiabilité en Allemagne, le règlement de réclamations et l’acceptation de trains dans le cadre du projet des CFF en Suisse, ainsi que la poursuite de l’amélioration de l’efficacité à l’échelle du secteur.

Investissements de la Caisse dans Transport

  • Les résultats de Transport pour 2019 n’ont pas atteint les cibles de performance sous-tendant l’investissement de la Caisse dans BT Holdco. Par conséquent, pour la période de douze mois débutant le 12 février 2020, le pourcentage de la participation de Bombardier, à la conversion des actions de la Caisse, sera diminué de 2,5 %, pour s’établir à 67,5 %; le taux du droit à un rendement préférentiel en matière de liquidation de ses actions sera augmenté, passant de 9,5 %, à 12,0 % pour cette période. Tout dividende versé par BT Holdco à ses actionnaires pendant cette période sera distribué en fonction du pourcentage de participation de chaque actionnaire à la conversion, soit 67,5 % pour Bombardier et 32,5 % pour la Caisse. Ces ajustements entreront en vigueur une fois que les états financiers consolidés audités de BT Holdco seront dûment approuvés par son conseil d’administration.

À propos de Bombardier

Avec plus de 60 000 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.

Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans plus de 25 pays, couvrant les deux secteurs Transport et Avions d’affaires. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2019, nos revenus ont été de 15,8 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Bombardier Inc. utilise son site Web comme canal de diffusion d’information importante sur l’entreprise. L’information financière et toute autre information importante relative à Bombardier Inc. est normalement affichée sur son site Web et est accessible à bombardier.com. Les investisseurs sont avisés par la présente qu’à partir de maintenant, l’information au sujet des dividendes réguliers déclarés et versés par Bombardier ne sera disponible que sur son site Web, à moins qu’elle n’y soit tenue selon les lois sur les valeurs mobilières applicables.

AVENTRA, Bombardier, Challenger, CRJ550, CRJ900, CRJ Series, Global, Global 5500Global 6500, Global 7500Global 8000Learjet, Learjet 75, et Q Series sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Jessica McDonald
Conseillère, Relations avec les médias et affaires publiques
Bombardier Inc.
+1 514 861 9481
Patrick Ghoche
Vice-président, Stratégie d'entreprise et Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+1 514 861 5727

 

Nous recommandons fortement aux lecteurs de consulter notre rapport de gestion ainsi que nos états financiers consolidés qui sont affichés sur notre site Web à ri.bombardier.com pour obtenir une analyse plus détaillée de nos résultats sectoriels.

ins : information non significative

pdb : points de base

  1. Énoncé prospectif. Se reporter aux hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs et à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs de la section Sommaire.
  2. Mesures financières non conformes aux PCGR. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR dans la section Sommaire pour la définition de ces indicateurs et à la rubrique Analyse des résultats ci-après pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.
  3. Compte nom tenue des sessions et de l’impact de taux de change.
  4. Se reporter à la Note 3 - Modifications de politiques comptables des états financiers consolidés pour plus de détails sur l’incidence de l’adoption de l’IFRS 16, Contrats de location. Selon l’approche rétrospective modifiée adoptée par la Société, les chiffres de 2018 n’ont pas été retraités.
  5. Mesures financières non conformes aux PCGR. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR dans la section Sommaire pour la définition de ces indicateurs et aux rubriques Analyse des résultats et Liquidités et sources de financement pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS. Avant le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société présentait le « RAII avant éléments spéciaux » et le « RAIIA avant éléments spéciaux » comme étant des mesures non conformes aux PCGR. Depuis le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société a modifié l’appellation de ces mesures non conformes aux PCGR et les nomme désormais « RAII ajusté » et « RAIIA ajusté », respectivement, sans modifier la composition de ces mesures non conformes aux PCGR. La Société est d’avis que cette nouvelle appellation est plus conforme à la pratique générale du marché dans son secteur et distingue mieux ces mesures du RAII selon les IFRS.
  6. Compte tenu du produit d’environ 600 millions $ tiré de la vente de la propriété Downsview en 2018.
  7. Comprennent la trésorerie et les équivalents de trésorerie des activités liées aux aérostructures présentés dans les actifs détenus en vue de la vente totalisant 51 millions $ au 31 décembre 2019. Se reporter à la rubrique Redéfinition du portefeuille de la section Aviation, à la Note 15 - Trésorerie et équivalents de trésorerie et à la Note 30 - Actifs détenus en vue de la vente des états financiers consolidés pour plus de détails sur les transactions ainsi que sur les traitements comptables.
  8. Définies comme la trésorerie et les équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
  9. Y compris 20 commandes fermes d’avions CRJ900 au 31 décembre 2019 et 45 commandes fermes et 4 options d’achat d’avions CRJ900 au 31 décembre 2018. La production des avions CRJ devrait s’achever au cours du second semestre de 2020, une fois livrés les avions du carnet de commandes actuel.
  10. Les chiffres ont été retraités en raison de la création de Bombardier Aviation, notre nouveau secteur isolable. Se reporter à la rubrique Information sectorielle de la section Sommaire pour plus de détails.
  11. Le 31 mai 2019, la Société a conclu la vente précédemment annoncée des actifs du programme d’avions Q Series, y compris les activités et les actifs des services après-vente, à De Havilland Aircraft of Canada Limited (anciennement Longview Aircraft Company of Canada Limited). Par conséquent, les sept avions Q Series livrés au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2019 l’ont été au cours des cinq premiers mois.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Ce communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les IFRS et sur les mesures financières non conformes aux PCGR suivantes :

Mesures financières non conformes aux PCGR

RAII ajusté(1)

RAII excluant les éléments spéciaux. Les éléments spéciaux sont ceux qui ne reflètent pas le rendement de base de la Société ou dont la présentation distincte permet aux utilisateurs de mieux comprendre les résultats financiers consolidés de la Société pour la période. Ces éléments comprennent notamment l’incidence des charges de restructuration ainsi que les charges de dépréciation importantes et la reprise de celles-ci.

 

RAIIA ajusté(1)

RAII ajusté, y compris l’amortissement et les charges de dépréciation des immobilisations corporelles et incorporelles.
 

Résultat net ajusté

Résultat net, compte non tenu des éléments spéciaux, de la charge de désactualisation des obligations nettes au titre des avantages de retraite, de certains gains et pertes nets découlant des modifications de l’évaluation des provisions et des instruments financiers comptabilisés à la juste valeur par le biais du résultat net et de l’incidence fiscale connexe de ces éléments.
 

RPA ajusté

RPA calculé d’après le résultat net ajusté attribuable aux détenteurs d’instruments de capitaux propres de Bombardier Inc. au moyen de la méthode du rachat d’actions en tenant compte de l’exercice de tous les facteurs de dilution.
 

Flux de trésorerie disponibles (utilisation)

Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles, déduction faite des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles.
 

Dette ajustée

Dette à long terme comme présentée dans les états de la situation financière consolidés, ajustée pour tenir compte de la juste valeur des dérivés (ou des dérivés réglés) désignés dans des relations de couverture connexes plus les emprunts à court terme et les obligations locatives.

 

(1) Depuis le 1er janvier 2019, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux sont remplacés respectivement par le RAII ajusté et le RAIIA ajusté. La définition de ces deux indicateurs demeure inchangée.

Les mesures financières non conformes aux PCGR sont tirées principalement des états financiers consolidés, mais n’ont pas de sens normalisé prescrit par les IFRS. L’exclusion de certains éléments des mesures de rendement non conformes aux PCGR ne signifie pas que ces éléments sont nécessairement ponctuels. D’autres entités de notre industrie peuvent définir les mesures susmentionnées de manière différente. Dans ce cas, il peut être difficile de comparer le rendement de ces entités au rendement de la Société selon des mesures non conformes aux PCGR ayant une appellation similaire.

Avant le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société présentait le « RAII avant éléments spéciaux » et le « RAIIA avant éléments spéciaux » comme étant des mesures non conformes aux PCGR. Depuis le premier trimestre de l’exercice 2019, la Société a modifié l’appellation de ces mesures non conformes aux PCGR et les nomme désormais « RAII ajusté » et « RAIIA ajusté », respectivement, sans modifier la composition de ces mesures non conformes aux PCGR. La Société est d’avis que cette nouvelle appellation est plus conforme à la pratique générale du marché dans son secteur et distingue mieux ces mesures du RAII selon les IFRS.

RAII ajusté, RAIIA ajusté, résultat net ajusté et résultat par action ajusté

La direction utilise le RAII ajusté, le RAIIA ajusté, le résultat net ajusté et le résultat par action ajusté aux fins de l’évaluation de la performance sous-jacente de l’entreprise. La direction croit que ces mesures du résultat non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre Rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Le RAII ajusté, le RAIIA ajusté, le résultat net ajusté et le RPA ajusté excluent des éléments qui ne reflètent pas notre rendement de base ou dont l’exclusion aidera les utilisateurs à comprendre nos résultats pour la période. C’est pourquoi un grand nombre d’utilisateurs du rapport de gestion analysent nos résultats d’après ces mesures financières. La direction est d’avis que ces mesures aident les utilisateurs du rapport de gestion à mieux analyser les résultats, améliorent la comparabilité de nos résultats d’une période à l’autre ainsi que la comparabilité avec nos pairs.

Flux de trésorerie disponibles (utilisation)

Les flux de trésorerie disponibles correspondent aux flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles diminués des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles. La direction croit que cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR permet aux investisseurs d’avoir une vision claire de la trésorerie disponible générée pour les actionnaires de la Société, le remboursement de la dette et les acquisitions une fois engagées les dépenses en immobilisations requises à l’appui des activités courantes de l’entreprise et la création de valeur à long terme. Cette mesure des flux de trésorerie non conforme aux PCGR ne correspond pas aux flux de trésorerie disponibles résiduels aux fins des dépenses discrétionnaires, étant donné qu’elle ne tient pas compte de certaines sorties de fonds obligatoires, comme le remboursement de la dette arrivant à échéance. La direction a recours aux flux de trésorerie disponibles à titre de mesure d’évaluation de la performance de l’entreprise et de la génération de liquidités dans son ensemble.

Dette ajustée

Nous analysons notre structure du capital en fonction d’indicateurs globaux qui reposent sur la dette ajustée, le RAII ajusté, le RAIIA ajusté et les intérêts ajustés(1). Se reporter à la rubrique Structure du capital pour plus de détails.

Le rapprochement des mesures financières non conformes aux PCGR avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans les tableaux ci-après, à l’exception des rapprochements suivants :

  • RAII ajusté et RAII – se reporter aux tableaux Résultats opérationnels des secteurs isolables et à la rubrique Résultats opérationnels consolidés; et
  • utilisation des flux de trésorerie disponibles par rapport aux flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles – se reporter au tableau Utilisation des flux de trésorerie disponibles de la rubrique Liquidités et sources de financement.
  • Représentent les intérêts versés d’après l’information supplémentaire fournie dans les états des flux de trésorerie consolidés.

Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos anticipations et nos perspectives et prévisions à propos de divers indicateurs financiers et globaux et sources d’apport connexes, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, notre position sur le marché, nos capacités, notre position en regard de la concurrence, nos cotes de crédit, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; la stratégie de croissance, y compris celle des activités de services après-vente pour des avions d’affaires; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; les attentes à l’égard de l’avancement des projets complexes de Transport et de leur achèvement, et de la libération de fonds de roulement qui en découlera selon le calendrier prévu; les prévisions relatives à la composition des revenus et du carnet de commandes; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; la robustesse de notre structure du capital et de notre bilan, notre solvabilité, nos liquidités et sources de financement disponibles, nos besoins financiers prévus et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la mise en place d’améliorations visant la productivité et les gains d’efficacité opérationnelle et d’initiatives de restructuration et les coûts prévus s’y rattacher, les avantages recherchés et le moment de leur matérialisation; les objectifs et les cibles financières sous-jacents à notre plan de transformation ainsi que son calendrier de réalisation et les progrès de sa mise en oeuvre, notamment la transition de l’entreprise vers un cycle de croissance et la génération de liquidités; les prévisions et les objectifs en matière de rachat de la dette et de refinancement des facilités bancaires et de la prorogation des échéances; et les intentions et les objectifs à l’égard de nos programmes, de nos actifs et de nos activités. En ce qui a trait à la cession éventuelle de nos activités à Belfast et au Maroc et à la vente relative aux avions CRJ Series (collectivement, la transaction en cours), le communiqué comporte également des énoncés prospectifs ayant trait aux conditions et modalités prévues et à l’échéancier de réalisation connexe; au produit devant en découler et à l’utilisation et/ou la contrepartie de celui-ci, aux coûts et charges connexes ainsi qu’aux avantages que l’on prévoit en retirer de ces transactions et leur incidence prévue sur nos perspectives, prévisions et cibles, nos activités, notre infrastructure, nos occasions, notre situation financière, notre plan d’entreprise et notre stratégie globale; et le fait que la clôture de ces transactions en cours est conditionnelle a certain évènements, y compris l’obtention des approbations nécessaires des organismes de réglementation.

Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « attendre », « anticiper », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes, perspectives et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.

De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information actuellement à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs formulés dans le communiqué en lien avec les transactions en cours dont il est question dans les présentes comportent les hypothèses significatives suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture (y compris l’obtention des approbations réglementaires selon des modalités acceptables dans des délais habituels), et la réalisation des transactions selon le calendrier prévu et des avantages prévus qui devraient découler de ces transactions (y compris la réception du produit attendu) selon le calendrier prévu. Pour plus de renseignements, y compris à l’égard des autres hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le communiqué, voir la rubrique Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique générale, à notre contexte commercial (tels les risques liés au « Brexit », à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale, à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou aux changements climatiques à l’échelle mondiale), aux risques opérationnels (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités et à l’octroi de nouveaux contrats; au ratio de nouvelles commandes sur livraisons ou sur revenus et au carnet de commandes; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets, y compris les problèmes liés à certains projets complexes de Transport, et le risque que les mesures et initiatives mises en œuvre par Transport ne réussissent pas à faire avancer ces projets et à les mener à terme, et que le résultat prévu et la libération de fonds de roulement connexe ne soient pas réalisés, ou qu’ils ne le soient pas selon le calendrier prévu; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; aux risques liés à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie, notre plan de transformation, nos améliorations visant la productivité, nos gains d’efficacité et nos initiatives de restructuration; aux partenaires commerciaux; au caractère inapproprié de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement de projet; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients, contrats et fournisseurs; à la chaîne d’approvisionnement; aux ressources humaines; à la dépendance à l’égard des systèmes informatiques et à leur protection; à la dépendance à l’égard des droits relatifs à la propriété intellectuelle et à leur protection; aux risques liés à la réputation; à la gestion des risques, aux questions fiscales; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du présent rapport de gestion. En ce qui concerne les transactions en cours dont il est question dans les présentes, certains facteurs pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, y compris, sans s’y limiter, la non-réception des approbations des organismes de réglementation ou le retard dans la réception de celles-ci selon des conditions acceptables ou pas du tout ou le non-respect des conditions rattachées à la réalisation des transactions ou le retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien les transactions, et la non-réalisation de la totalité ou d’une partie des avantages prévue et la réception du produit attendu qui devrait en découler et qui, par conséquent, ne serait pas disponible pour Bombardier selon l’échéancier prévu ou pas du tout; le fait que d’autres sources de financement qui pourraient remplacer le produit prévu devant découler des transactions pourraient ne pas être accessibles lorsqu’elles s’avèrent nécessaires ou ne pas l’être selon des modalités avantageuses. Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du présent rapport de gestion.

Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent rapport et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport de gestion sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.