Bombardier présente ses résultats du deuxième trimestre de 2018

  • Hausse de 18 % du résultat(1) sur douze mois sur des revenus de 4,3 G$ entraînés par une augmentation de 11 % des revenus de Transport
  • Hausse de 80 pdb de la marge RAII(1) s’établissant à 6,4 %
  • RAIIA et RAII avant éléments spéciaux(2) sur base consolidée de respectivement 336 M$ et 271 M$
  • Utilisation des flux de trésorerie disponibles(2) réduite à environ 370 M$(3), appuyant l’objectif de flux de trésorerie disponibles neutres pour l’exercice
  • Expansion du carnet de commandes de tous les secteurs d’activité(4)
  • Clôture anticipée du partenariat avec Airbus; annonce d’importantes nouvelles commandes
  • Injection de 600 M$ de liquidités provenant de la clôture de la vente de la propriété de Downsview

Bombardier (TSX: BBD.B) a publié aujourd’hui ses résultats du deuxième trimestre de 2018, y compris une solide croissance du résultat, une expansion des marges et une réduction de l’utilisation de la trésorerie. L’entreprise continue de faire de grands progrès dans l’exécution de son plan de redressement et a confirmé qu’elle est en bonne voie de réaliser ses prévisions pour 2018 et ses objectifs pour 2020.

« Nous continuons à réaliser de solides progrès dans l’exécution de notre plan de redressement et dans le positionnement de l’entreprise pour l’avenir, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Notre cycle d’investissements massifs étant en grande partie complété, nous nous concentrons désormais sur la montée en charge de notre production et l’amélioration de notre efficacité opérationnelle pour accélérer la croissance. Vous pouvez le constater dans nos solides résultats du deuxième trimestre. »

Les revenus de Bombardier ont totalisé 4,3 milliards $ pour le trimestre, en hausse de 3 % sur ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent. Cette hausse découle en grande partie de la forte croissance de 11 % des revenus de Transport qui a enregistré une croissance sur tous les segments de marché y compris ceux du matériel roulant et des systèmes, des services et de la signalisation. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles de l’entreprise a été d’environ 370 millions $ pour le trimestre, évoluant vers les prévisions pour l’exercice. Les flux de trésorerie disponibles présentés de 232 millions $ incluent environ 600 millions $ de produit net de la vente de la propriété de Downsview, laquelle a été close comme prévu plus tôt cette année.

Le RAII avant éléments spéciaux a progressé de 18 % sur douze mois pour atteindre 271 millions $, tandis que le RAIIA avant éléments spéciaux a progressé de 7 % pour s’établir à 336 millions $. La marge RAII avant éléments spéciaux(2) a poursuivi sa croissance pour atteindre 6,4 % sur une base consolidée. Les marges de Transport, Avions d’affaires et Aérostructures et Services d’ingénierie ont été égales ou supérieures à 8,5 %.

Les carnets de commandes sont restés élevés pour l’ensemble du portefeuille de Bombardier. Transport a présenté un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,1 pour le trimestre, portant son carnet de commandes à 34 milliards $ et démontrant sa solide compétitivité sur les marchés du monde entier. Avions d’affaires a tiré parti d’une amélioration du marché des avions d’affaires pour accroître de 200 millions $ son carnet de commandes au cours du trimestre, le portant à 14,1 milliards $, ce qui en fait le plus important de l’industrie. Avions commerciaux a remporté des commandes pour un total de 35 biréacteurs CRJ Series, dotés de la nouvelle cabine ATMOSPHÈRE, et 16 biturbopropulseurs Q400.

Bombardier a aussi pris des mesures stratégiques clés au cours du trimestre, y compris celle de clore le partenariat avec Airbus plus tôt que prévu. Le partenariat réunit les meilleurs avions du segment de marché des avions de 100 à 150 sièges et l’envergure et la portée mondiales d’Airbus. De nouvelles commandes de JetBlue et de la toute nouvelle compagnie aérienne dirigée par David Neeleman ont clairement démontré le potentiel de création de valeur du partenariat.

Bombardier a aussi renforcé son leadership sur le segment de marché des biréacteurs d’affaires à grande cabine avec le lancement des nouveaux avions Global 5500 et Global 6500, ainsi qu’en accroissant l’autonomie, les performances de décollage et d’atterrissage de l’avion Global 7500.(5) La certification du jet d’affaires Global 7500 devrait être obtenue bientôt, suivie par la première livraison, et sa mise en service réalisée avant la fin de l’année. Dotée du meilleur portefeuille de produits, du plus grand nombre de livraisons sur le marché et du plus important carnet de commandes de l’industrie, Bombardier demeure la marque de premier choix pour les jets d’affaires.

« Bombardier a connu une solide performance au premier semestre de 2018, et entame le second semestre de l’année avec un bon élan, a ajouté M. Bellemare. En plus de réaliser nos objectifs financiers à court terme, nous prenons aussi les mesures stratégiques qui s’imposent pour placer l’entreprise en position pour croître fortement au cours de la prochaine décennie. »

Principaux Résultats (PDF)

RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS

Avions d’affaires

Résultats (PDF)

  • La performance au deuxième trimestre d’Avions d’affaires témoigne d’une solide exécution en matière de livraisons et de ventes, de progrès soutenus dans le cadre des nouveaux programmes et d’une croissance continue des revenus tirés des services après-vente combinés au dévoilement de deux nouveaux avions qui renforcent encore plus le portefeuille de biréacteurs d’affaires de Bombardier.
  • Au cours du deuxième trimestre, les revenus tirés de la livraison de 34 avions se sont établis à 1,3 milliard $ et les revenus tirés des services après-vente ont affiché une croissance de 21 %, contrebalancés par la baisse des revenus tirés des avions, en raison du nombre moins élevé d’avions d’occasion disponibles. Depuis le début de l’exercice, les revenus se sont élevés à 2,4 milliards $, en bonne voie d’atteindre la prévision de 5 milliards $ pour l’exercice complet.
  • Depuis le début de l’exercice, nous avons livré 65 avions, ce qui est conforme au plan et au nombre de livraisons effectuées au cours du dernier exercice, et nous sommes en bonne voie d’atteindre notre prévision de 135 livraisons d’avions pour l’exercice complet.
  • Les marges sont demeurées supérieures à la prévision de 8 %, la marge RAII avant éléments spéciaux atteignant respectivement 8,5 % et 8,7 % pour le trimestre et le semestre clos le 30 juin 2018.
  • À la fin du deuxième trimestre, le carnet de commandes d’avions a augmenté pour atteindre 14,1 milliards $, reflétant le niveau élevé des activités sur le marché pour un troisième trimestre de suite. La demande continue d’être stimulée par l’Amérique du Nord, tout en étant aussi soutenue à un bon rythme par l’Asie-Pacifique, la Chine élargie et l’Europe.
  • L’avion Global 7500 continue de dépasser les attentes, comme en témoigne l’annonce d’une autonomie accrue et d’un dépassement des engagements de performance au décollage et à l’atterrissage. En effet, l’avion Global 7500 a désormais une autonomie de 7700 milles marins et il est le biréacteur d’affaires le plus grand et à la plus grande autonomie disponible sur le marché. Ayant cumulé plus de 2400 heures d’essais en vol, ce qui témoigne d’un haut degré de maturité et de fiabilité, l’avion emblématique de sa catégorie est en bonne voie d’être mis en service plus tard cette année.
  • De plus, le 28 mai 2018, Avions d’affaires a dévoilé les nouveaux avions Bombardier Global 5500 et Global 6500 qui, dotés d’un moteur Rolls-Royce entièrement nouveau et d’une aile nouvellement optimisée, consomment jusqu’à 13 % moins de carburant. S’inspirant du succès des avions Global 5000 et Global 6000, ces nouveaux avions atteignent une vitesse de pointe de Mach 0,90 et offrent respectivement 500 et 600 milles marins d’autonomie supplémentaire ou jusqu’à 1300 milles marins lorsqu’ils sont exploités par temps chaud et en haute altitude. La mise en service de ces avions est prévue pour la fin de 2019.
  • Après la vente de la propriété de Downsview, Bombardier a annoncé qu’elle entendait construire un nouveau centre d’excellence et une nouvelle usine d’assemblage final pour sa gamme d’avions Global à l’Aéroport international Pearson de Toronto.

Avions commerciaux

Résultats (PDF)

  • Le 1er juillet 2018, nous avons clos le partenariat C Series formé d’Airbus (50,01 %), de Bombardier (33,55 %) et d’Investissement Québec (16,44 %). Ce partenariat réunit deux gammes complémentaires d’avions et l’avantage de la portée mondiale d’Airbus, qui apporte une valeur importante aux avions C Series. Par conséquent, à compter du troisième trimestre, SCACS sera retirée du périmètre de consolidation d’Avions commerciaux et remplacée plutôt par la quote-part de Bombardier dans le résultat net de celle-ci.
  • Au cours du trimestre, nous avons livré 18 avions commerciaux, soit 8 avions C Series, 5 avions CRJ Series et 5 avions Q400. Depuis le début de l’exercice, 18 biturbopropulseurs et biréacteurs régionaux ont été livrés et Avions commerciaux est en bonne voie de réaliser sa prévision de 35 livraisons pour l’exercice visant les plateformes d’avions régionaux.
  • Avec des revenus de 1,1 milliard $ et un RAII négatif avant éléments spéciaux de 139 millions $ depuis le début de l’exercice, nous représentons une prévision de revenus d’environ 1,7 milliard $ et de RAII négatif avant éléments spéciaux d’environ 250 millions $ pour l’exercice complet d’Avions commerciaux. Cela reflète le retrait des résultats de SCACS du périmètre de consolidation d’Avions commerciaux à compter du troisième trimestre, remplacés par la quote-part des résultats.
  • Le deuxième trimestre a connu un volume de commandes important, le ratio de nouvelles commandes sur livraisons atteignant 4,2 :
    • Le carnet de commandes d’avions CRJ Series a atteint 60 avions en raison de deux commandes d'avions CRJ900 pour American Airlines et Delta totalisant 35 appareils. Ces commandes sont les premières portant sur des avions dotés de la nouvelle cabine ATMOSPHÈRE, établissant la nouvelle norme en matière d’expérience passager dans le segment de marché des biréacteurs régionaux.
    • D’autres commandes comprenant 16 avions Q400 pour Ethiopian Airlines et African Aero Trading portent le carnet de commandes à 56 avions.
  • SCACS continue de démontrer un élan soutenu des commandes avec trois commandes récentes de la part de clients de premier plan :
    • Le 28 mai 2018, airBaltic a conclu une entente d’achat ferme visant 30 avions CS300 assorties d'options et de droits d’achat visant 30 autres avions. La flotte uniquement composée d’avions C Series est l’épine dorsale du nouveau plan d’affaires d’airBaltic, et cette nouvelle commande importante de notre exploitant de lancement du modèle CS300 est une preuve éloquente des performances exceptionnelles des avions en service.
    • Après la fin du trimestre, SCACS a reçu une lettre d’intention de JetBlue visant 60 avions assortie d’options sur 60 appareils additionnels ainsi qu’un protocole d’entente visant 60 appareils de la part d’une future compagnie aérienne américaine, dont l’investisseur majoritaire est David Neeleman.

Aérostructures et Services d’ingénierie

Résultats (PDF)

  • Aérostructures et Services d’ingénierie est prête à croître tandis qu’elle continue l’accélération de la production des avions C Series et Global 7500; les activités progressent bien, une grosse part de la production de composants de 2018 et 2019 étant en cours.
  • Les revenus pour le trimestre dépassent légèrement ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent tandis que le RAII avant éléments spéciaux a plus que doublé, ce qui a donné lieu à une marge de 12,5 % pour le trimestre. Cette solide performance résulte en grande partie de l’efficacité opérationnelle et d’un règlement intersectoriel positif unique associé à la clôture du partenariat C Series.

Transport

Résultats (PDF)

  • Les revenus ont continué à croître au deuxième trimestre, enregistrant une hausse de 11 % sur douze mois (soit 6 % compte non tenu de l’incidence des taux de change) pour atteindre 4,6 milliards $ pour le semestre, en raison de l’accélération de projets clés. Les revenus ont augmenté dans tous les segments, soit ceux du matériel roulant et des systèmes, des services et de la signalisation, en bonne voie d’atteindre nos prévisions de revenus de 9,0 milliards $ pour l’exercice complet.
  • La phase d’accélération des principaux projets initiée au milieu de l’année 2017 s’est poursuivie au cours du premier semestre de 2018, établissant un fonds de roulement de 471 millions $ pour répondre à une accélération des livraisons et des flux de trésorerie au deuxième semestre de l’exercice.
  • Le RAII avant éléments spéciaux a atteint 207 millions $ au cours du trimestre, soit une marge de 9,2 %. La marge depuis le début de l’exercice de 8,6 % a continué à tendre vers une prévision d’une marge supérieure à 8,5 % pour l’exercice.
  • À l’appui de la croissance à venir, nos nouvelles commandes ont totalisé 2,4 milliards $ au deuxième trimestre, portant notre ratio de nouvelles commandes sur revenus à 1,1 pour le trimestre et notre carnet de commandes à 34,0 milliards $. Au cours du premier semestre de l’exercice, des commandes ont été passées dans toutes les régions, y compris en Europe, en Asie-Pacifique et en Amérique du Nord, et comprennent l’exercice d’options d’achat par des clients et un solide volume de nouveaux contrats de service.
  • En juin, nous avons inauguré nos nouvelles installations d’assemblage final à Bautzen, en Allemagne.  Celles-ci sont nos installations d’assemblage les plus modernes et les plus efficientes, s’appuyant davantage sur les technologies numériques conformément à notre stratégie industrielle.
  • Au cours du trimestre, Jim Vounassis a été nommé chef de l’exploitation de Transport. Il aidera à piloter l’excellence opérationnelle tandis que nous exécutons notre carnet de commandes ferroviaires.

À propos de Bombardier

Avec plus de 69 500 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.

Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2017, nos revenus ont été de 16,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.

Bombardier, CRJ900, CRJ Series, Global, Global 5500, Global 6500, Global 7500 et Q400  sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Simon Letendre
Gestionnaire,
Relations avec les médias et affaires publiques
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Patrick Ghoche
Vice-président,
Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 5727

Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse ri.bombardier.com.

ins : information non significative

pdb : point de base

(1)   Résultat désigne le RAII avant éléments spéciaux et marge désigne la marge RAII avant éléments spéciaux. Mesures financières non conformes aux PCGR.Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.

(2) Mesures financières non conformes aux PCGR. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.

(3) Compte non tenu du produit net d’environ 600 millions $ tiré de la vente de la propriété de Downsview.

(4)   Compte non tenu des écarts de taux de change pour Transport.

(5) En cours de développement. Se reporter à la mise en garde relative au programme d’avions Global 5500, Global 6500, Global 7500 et Global 8000 à la fin du présent communiqué de presse.

(6)   En raison de l’adoption de l’IFRS 15, Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients. Se reporter à la rubrique Nouveautés en comptabilité et en présentation de l’information financière de la section Autres du rapport de gestion de la Société du deuxième rapport trimestriel pour le trimestre clos le 30 juin 2018 pour des détails sur le retraitement des chiffres de la période comparative.

(7)   Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.

(8)   En raison de la clôture de notre partenariat C Seriesavec Airbus, les actifs et passifs du programme d’avions C Series sont présentés dans les actifs détenus en vue de la vente. Se reporter à la rubrique Partenariat stratégique de la section Avions commerciaux, ainsi qu’à la Note 11 – Trésorerie et équivalents de trésorerie et à la Note 19 – Actifs détenus en vue de la vente des états financiers consolidés de la Société, pour plus de détails sur la transaction et le traitement comptable au 30 juin 2018.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR

Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres entreprises utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d’activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.

Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)

ÉNONCÉS PROSPECTIFS

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; le financement et les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); l’incidence et les avantages escomptés de la transaction avec Airbus sur nos activités, notre infrastructure, nos capacités, notre développement, notre croissance et autres occasions et perspectives, notre présence et notre dimension géographiques, la valeur de nos actifs et de nos programmes, notre empreinte, notre situation financière, notre accès à des capitaux et notre stratégie générale; et l’incidence de cette transaction sur notre bilan et notre situation financière.

Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.

De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse relativement à la transaction avec Airbus comprennent les hypothèses importantes suivantes : l’exactitude de nos analyses et de notre analyse de rentabilité, y compris les estimations de flux de trésorerie et de revenus sur la durée de vie prévue du programme et par la suite; l’amélioration graduelle du prix des avions, des coûts unitaires et des livraisons au cours de la phase d’accélération; les hypothèses à l’égard de la solidité et de la qualité de la dimension, de la présence, des ventes, de la commercialisation et des réseaux de soutien d’Airbus, de sa chaîne d’approvisionnement et de son expertise opérationnelle ainsi que de ses relations avec les clients; le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de la transaction dans les délais prévus, y compris la réception des approbations des organismes de réglementation et des autres approbations; le respect et l’exécution par chacune des parties de ses obligations aux termes de l’accord relatif à la transaction et aux accords commerciaux futurs et l’absence d’inefficacités importantes ou d’autres problèmes connexes; la réalisation des avantages et des synergies prévues de la transaction selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère adéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et l’exactitude de notre évaluation des facteurs de croissance prévus et des tendances sectorielles. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Avions d’affaires, Avions commerciaux, Aérostructures et Services d’ingénierie et Transport du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.

En ce qui a trait spécifiquement à la transaction avec Airbus, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : la fiabilité de nos analyses et de notre analyse de rentabilité, y compris les estimations de flux de trésorerie et de revenus sur la durée de vie prévue du programme et par la suite; tout événement, tout changement ou toute autre circonstance nouvelle pouvant avoir une incidence défavorable sur la dimension, la présence, les ventes, la commercialisation ou les réseaux de soutien d’Airbus, sa chaîne d’approvisionnement, ses activités ou ses relations avec les clients; le défaut de l’une des parties de respecter et d’exécuter ses obligations aux termes de l’accord relatif à la transaction et aux accords commerciaux futurs et/ou des inefficacités importantes ou d’autres problèmes connexes; la non-réalisation des avantages ou des synergies prévus de la transaction ou le fait qu’ils ne soient pas réalisés selon l’échéancier prévu; les risques associés à notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère inadéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et la fiabilité de notre évaluation des facteurs de croissance et des tendances sectorielles anticipés. Parmi les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale (y compris les modifications potentielles à l’Accord de libre-échange nord-américain actuel entre le Canada, les É.-U. et le Mexique qui fait l’objet de discussions, ou son abrogation), à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou catastrophes naturelles), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie et notre plan de transformation; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.

Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. En outre, rien ne garantit que les avantages stratégiques prévus et les synergies attendues de la transaction avec Airbus sur le plan de l’exploitation, de la concurrence et des coûts seront réalisés en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué de presse sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

Les avions Global 5500, Global 6500, Global 7500 et Global 8000 sont présentement à la phase de développement et sont susceptibles de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent communiqué de presse ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.