31 juillet 2014

Bombardier annonce ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.)

  • Revenus de 4,9 milliards $, contre 4,4 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • RAII avant éléments spéciaux(1) de 257 millions $, ou 5,3 % des revenus, contre 257 millions $, ou 5,8 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Résultat net ajusté(1)de 192 millions $ (RPA ajusté(1) de 0,10 $), comparativement à 158 millions $ (RPA ajusté de 0,09 $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent
  • Utilisation de flux de trésorerie disponibles(1) de 424 millions $, contre une utilisation de 566 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, incluant un investissement net de 525 millions $ en immobilisations corporelles et incorporelles
  • Sources de financement disponibles à court terme de 3,9 milliards $, y compris la trésorerie et les équivalents de trésorerie de 2,5 milliards $ au 30 juin 2014, contre respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013
  • Carnet de commandes de 75,7 milliards $ au 30 juin 2014, comparativement à 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013
  • Après la fin du trimestre, annonce d’une nouvelle structure organisationnelle

(1)        Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a présenté aujourd’hui ses résultats financiers du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014. Les revenus du trimestre ont été de 4,9 milliards $, comparativement à 4,4 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, ce qui représente une hausse de 8,9 %, compte non tenu de l’incidence des taux de change.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014 a totalisé 257 millions $, ou 5,3 % des revenus, comparativement à un RAII avant éléments spéciaux de 257 millions $, ou 5,8 %, et à un RAII de 288 millions $, ou 6,5 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Sur une base ajustée, le résultat net du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014 a été de 192 millions $, ou un résultat par action (RPA) de 0,10 $, comparativement à 158 millions $, ou 0,09 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat net a totalisé 155 millions $, ou un RPA de 0,08 $, comparativement à 180 millions $, ou 0,10 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

L’utilisation de flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles moins les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles) pour le trimestre clos le 30 juin 2014 a été de 424 millions $, contre une utilisation de 566 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les sources de financement disponibles à court terme de 3,9 milliards $ au 30 juin 2014 incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 2,5 milliards $, en regard de respectivement 4,8 milliards $ et 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013. Le carnet de commandes total atteignait 75,7 milliards $ au 30 juin 2014, contre 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013.

Le 23 juillet 2014, Bombardier a annoncé une nouvelle structurelle organisationnelle composée de quatre secteurs d’activité : Bombardier Transport, Bombardier Avions d’affaires, Bombardier Avions commerciaux, Bombardier Aérostructures et Services d’ingénierie, dont les présidents relèveront directement de Pierre Beaudoin, président et chef de la direction de Bombardier Inc. La création du secteur d’activité Aérostructures et Services d’ingénierie vise à commercialiser davantage l’expertise de l’entreprise dans ce domaine au sein de l’industrie aéronautique, générant ainsi de nouveaux revenus. Un plan de déploiement détaillé sera élaboré au cours des prochains mois, et la nouvelle structure sera en place le 1er janvier 2015. La restructuration entraînera l’élimination d’environ 1800 postes indirects chez Aéronautique.

« Nos résultats d’ensemble du deuxième trimestre sont conformes à nos attentes. Les deux groupes ont tous deux connu une hausse de leurs revenus et un haut niveau d’activité pour leurs produits, a dit Pierre Beaudoin. Bombardier Transport a continué de remporter un bon volume de nouvelles commandes portant à 9,7 milliards $ le total de nouvelles commandes engrangées au cours du premier semestre de l’exercice. De plus, de nouvelles mesures de réduction de coûts sont mises en œuvre dans le cadre de son programme de réorganisation visant à accroître progressivement la rentabilité.

« Chez Aéronautique, la nouvelle structure organisationnelle annoncée récemment nous rendra plus agiles et flexibles pour répondre aux besoins des clients, tout en réduisant les coûts et en accroissant notre capacité à nous concentrer sur les secteurs en croissance. Notre robuste carnet de commandes combiné à cette nouvelle structure plus légère nous permettront de réaliser le plein potentiel de nos investissements dans de nouveaux produits », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier Aéronautique

Les revenus de Bombardier Aéronautique du trimestre clos le 30 juin 2014 ont été de 2,5 milliards $, contre 2,3 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014 a totalisé 141 millions $, ou 5,6 % des revenus, comparativement à un RAII avant éléments spéciaux de 107 millions $, ou 4,7 %, et à un RAII de 138 millions $, ou 6,1 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles a été de 363 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 509 millions $) pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 2014, comparativement à une utilisation de 459 millions $ (incluant des additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles de 534 millions $) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Bombardier Aéronautique a livré un total de 62 avions au cours du deuxième trimestre clos le 30 juin 2014, contre 57 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent, et obtenu 48 commandes nettes, en regard de 82 au cours du trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le 29 mai 2014, un incident impliquant un des moteurs du premier véhicule d’essais en vol CS100 est survenu lors d’activités statiques d’entretien au sol. Bombardier et Pratt & Whitney ont mis au point une solution et les essais en vol devraient reprendre au cours des prochaines semaines. Les dates de mise en service prévues des programmes d’avions CS100 et CS300 demeurent inchangées.

En juin, Bombardier Avions commerciaux a signé, avec un client préférant garder l’anonymat, une commande ferme de 16 avions CRJ900 NextGen, évaluée à 727 millions $, selon le prix affiché, assortie d’options en visant huit autres.

Après la fin du trimestre, Bombardier Aéronautique a conclu au Salon aéronautique de Farnborough des commandes fermes, des ententes d’achat conditionnelles et des lettres d’intention visant un total de 74 avions, estimées à plus de 4,25 milliards $. Cela inclut des lettres d’intention et une entente d’achat conditionnelle visant un total de 66 avions CSeries avec cinq clients, portant à 513 le nombre de commandes fermes et d’autres engagements visant des avions CSeries conclus avec 20 clients dans 17 pays, dont 203 commandes fermes.

En avril, le premier véhicule d’essais en vol Learjet 85 a réalisé avec succès son vol inaugural. D’autres vols ont été effectués depuis. Les vols se déroulent comme prévu.

Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique atteignait 38,1 milliards $ au 30 juin 2014, comparativement à 37,3 milliards $ au 31 décembre 2013.

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 30 juin 2014 ont été de 2,4 milliards $, comparativement à 2,2 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent, une augmentation de 6,3 % compte non tenu de l’incidence des taux de change. Le RAII a totalisé 116 millions $, ou 4,9 % des revenus, comparativement à 150 millions $, ou 6,9 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation de flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 30 juin 2014 a totalisé 47 millions $, comparativement à une utilisation de 21 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Le total de nouvelles commandes a atteint 1,7 milliard $ (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 0,7), portant à 9,7 milliards $ la valeur totale des nouvelles commandes remportées au cours du premier semestre de l’exercice (ratio de nouvelles commandes sur revenus de 2,1). Ceci s’est traduit en un carnet de commandes de 37,6 milliards $ au 30 juin 2014, contre 32,4 milliards $ au 31 décembre 2013.

Au cours du deuxième trimestre, Bombardier Transport a remporté plusieurs petites et moyennes commandes dans divers segments de produits et régions, incluant un contrat pour du matériel roulant avec un client préférant garder l’anonymat d’une valeur de 338 millions $. Il a aussi signé un accord-cadre avec Railpool GmbH pour la livraison de 65 locomotives TRAXX, avec une commande ferme initiale de 35 locomotives évaluée à 184 millions $. En outre, Virgin Trains a signé un contrat prolongeant jusqu’en mars 2019 les services d’entretien de son parc de véhicules Super Voyager circulant sur la grande ligne West Coast du Royaume-Uni, contrat évalué à environ 175 millions $.

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 30 septembre 2014 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 12 septembre 2014.
Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 12 septembre 2014 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 mai, 15 juin et 15 juillet 2014.

Actions privilégiées, série 3
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 octobre 2014.

Actions privilégiées, série 4
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 31 octobre 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 17 octobre 2014.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership mondial en transport résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, nos revenus ont été de 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter: @Bombardier.

Bombardier, CRJ900, CS100, CS300, CSeries, Learjet, Learjet 85, L’évolution de la mobilité, NextGen et TRAXX sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Shirley Chénier
Directrice principale, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481

Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse Internet ri.bombardier.com

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs respective des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2013.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires, à l’instabilité politiques et à des cas de force majeure), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux engagements à modalités fixes et à la production et à l’exécution de projets, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, aux régimes d’avantages de retraite, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide du financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier annuel pour l’exercice clos le 31 décembre 2013. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés intermédiaires, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos rapports financiers une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement dans la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.