13 février 2014

Bombardier annonce ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2013

(Tous les montants de ce communiqué de presse sont exprimés en dollars américains, sauf indication contraire. Ce communiqué de presse contient à la fois des mesures conformes aux IFRS et des mesures non conformes aux PCGR. Les mesures non conformes aux PCGR sont définies et leur rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS est présenté dans le rapport de gestion de la Société. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse. Des chiffres comparatifs ont été retraités. Voir Note 1 de la table des faits saillants financiers.)

  • Revenus de 18,2 milliards $, comparativement à 16,4 milliards $ pour l’exercice précédent
  • RAII de 923 millions $, ou 5,1 % des revenus, contre 666 millions $, ou 4,1 %, pour l’exercice précédent
  • RAII avant éléments spéciaux(1) de 893 millions $, ou 4,9 % des revenus, comparativement à 806 millions $, ou 4,9 %, pour l’exercice précédent
  • Résultat net de 572 millions $ (RPA dilué de 0,31 $), comparativement à 470 millions $ (RPA dilué de 0,25 $) pour l’exercice précédent
  • Résultat net ajusté(1) de 608 millions $ (RPA ajusté(1) de 0,33 $), comparativement à 671 millions $ (RPA ajusté de 0,36 $) pour l’exercice précédent
  • Investissements nets de 2,3 milliards $ dans les immobilisations corporelles et incorporelles, dont 2,0 milliards $ dans les programmes aéronautiques, contre 2,1 milliards $, dont 1,7 milliard $ dans les programmes aéronautiques, pour l’exercice précédent
  • Utilisation des flux de trésorerie disponibles(1) de 907 millions $, comparativement à une utilisation de 636 millions $ pour l’exercice précédent
  • Sources de financement disponibles à court terme de 4,8 milliards $, incluant un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 3,4 milliards $, au 31 décembre 2013, comparativement à respectivement 4,0 milliards $ et 2,6 milliards $ au 31 décembre 2012
  • Carnet de commandes record de 69,7 milliards $, comparativement à 64,9 milliards $ au 31 décembre 2012

(1)    Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin de ce communiqué de presse.

Bombardier a présenté aujourd’hui ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l’exercice clos le 31 décembre 2013. Les revenus du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 ont été de 5,3 milliards $, comparativement à 4,6 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les revenus de l’exercice ont totalisé 18,2 milliards $, une augmentation de 11 % sur 16,4 milliards $ pour l’exercice précédent.

Le résultat avant charges de financement, revenus de financement et impôts sur le résultat (RAII) avant éléments spéciaux du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 a totalisé 186 millions $, ou 3,5 % des revenus, comparativement à 164 millions $, ou 3,5 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux de l’exercice a été de 893 millions $, ou 4,9 % des revenus, comparativement à 806 millions $, ou 4,9 %, pour l’exercice précédent. Le RAII du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 a été de 185 millions $, ou 3,5 % des revenus, comparativement à 1 million $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII de l’exercice a été de 923 millions $, ou 5,1 % des revenus, contre 666 millions $, ou 4,1 %, pour l’exercice précédent.

Sur une base ajustée, le résultat net du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013, a été de 129 millions $, ou un résultat par action (RPA) ajusté de 0,07 $, comparativement à 181 millions $, ou 0,10 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat net ajusté de l’exercice a été de 608 millions $, comparativement à 671 millions $ pour l’exercice précédent, résultant en un RPA ajusté de 0,33 $, contre 0,36 $ pour l’exercice précédent. Le résultat net du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 a été de 97 millions $, ou un RPA dilué de 0,05 $, comparativement à une perte nette de 4 millions $, ou une perte par action de 0,01 $, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le résultat net de l’exercice clos le 31 décembre 2013 a été de 572 millions $, comparativement à 470 millions $ pour l’exercice précédent. Le RPA dilué a été de 0,31 $, comparativement à un RPA dilué de 0,25 $ pour l’exercice précédent.

Les flux de trésorerie disponibles (flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles moins les additions nettes d’immobilisations corporelles et incorporelles) ont totalisé 771 millions $ pour le trimestre clos le 31 décembre 2013, comparativement à 854 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles a été de 907 millions $ pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, comparativement à une utilisation de 636 millions $ pour l’exercice précédent. Les sources de financement disponibles à court terme de 4,8 milliards $ incluaient un montant de trésorerie et équivalents de trésorerie de 3,4 milliards $ au 31 décembre 2013, comparativement à respectivement 4,0 milliards $ et 2,6 milliards $ au 31 décembre 2012. Le carnet de commandes global a augmenté de près de 5 milliards $ depuis le début de l’exercice pour atteindre un niveau record de 69,7 milliards $ au 31 décembre 2013.

« 2013 a été une bonne année pour Bombardier alors que nous avons franchi des jalons majeurs dans notre développement de produits : l’avion CSeries a réalisé son vol inaugural en septembre et son programme complet d’essais en vol est maintenant bien engagé. Les avions Learjet 70 et Learjet 75 ont tous deux été mis en service; et chez Transport, le train à très grande vitesse ZEFIRO 380 progresse bien vers son homologation, a dit Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, Bombardier Inc.

« Tant Aéronautique que Transport ont connu une autre année de solides commandes portant notre carnet de commandes à un montant record de 69,7 milliards $, ce qui nous donne un très bon aperçu des revenus des quatre prochaines années. Et nous débutons 2014 de façon impressionnante en ayant déjà remporté plus de 5 milliards $ de nouvelles commandes depuis le début de l’année.

« Nous sommes à la fois enthousiastes et réalistes pour les deux prochaines années. Nous avons continué à investir durant une période difficile pour améliorer notre position de leader sur le marché. Nous n’avons qu’un seul objectif et engagement : celui de générer une croissance forte, durable et rentable. Nos investissements sont sur le point de rapporter », a conclu M. Beaudoin.

Bombardier Aéronautique

Chez Bombardier Aéronautique, les revenus du trimestre clos le 31 décembre 2013 ont été de 2,9 milliards $, comparativement à 2,6 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les revenus de l’exercice ont totalisé 9,4 milliards $, comparativement à 8,6 milliards $ pour l’exercice précédent.

Le RAII du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 a totalisé 93 millions $, ou 3,2 % des revenus, (94 millions $, ou 3,3 %, avant éléments spéciaux), comparativement à 84 millions $, ou 3,2 %, pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII avant éléments spéciaux de l’exercice clos le 31 décembre 2013 s’est chiffré à 388 millions $, ou 4,1 % des revenus, comparativement à 367 millions $, ou 4,3 %, pour l’exercice précédent. Le RAII de l’exercice a été de 418 millions $, ou 4,5 % des revenus, comparativement à 390 millions $, ou 4,5 %, l’exercice précédent.

Les flux de trésorerie disponibles du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 ont totalisé 87 millions $, comparativement à 277 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. L’utilisation des flux de trésorerie disponibles de l’exercice clos le 31 décembre 2013 a totalisé 1,2 milliard $, comparativement à une utilisation de 867 millions $ pour l’exercice précédent.

Un total de 238 avions ont été livrés au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2013, comparativement à 233 l’exercice précédent, globalement conforme à nos prévisions.

Bombardier Aéronautique a connu une autre solide année de nouvelles commandes totalisant 388 commandes nettes pour un ratio de nouvelles commandes sur livraisons de 1,6. Bombardier Avions d’affaires a enregistré un volume de nouvelles commandes nettes de 305 avions, dont une commande ferme de l’acquéreur des activités de Flexjet portant sur 85 avions de la gamme Learjet et 30 avions de la gamme Challenger, d’une valeur de 2,4 milliards $ (d’après les prix affichés) assortie d’options sur 150 autres avions, ainsi qu’une commande d’un client qui préfère garder l’anonymat portant sur 28 avions de la gamme Global et 10 avions Challenger 605, d’une valeur totale de 2,2 milliards $ (d’après les prix affichés).

Bombardier Avions commerciaux a engrangé 81 commandes fermes au cours de l’exercice pour un ratio de nouvelles commandes sur livraisons de 1,5 pour l’année. Parmi les principales commandes reçues, citons celle d’Ilyushin Finance Co. (IFC) de Russie qui a passé une commande ferme de 32 avions CS300 d’une valeur de 2,6 milliards $ (d’après le prix affiché), assortie d’options sur 10 autres avions, et celle d’American Airlines Group Inc. des États-Unis qui a acquis 30 biréacteurs CRJ900 NextGen d’une valeur de 1,4 milliard $ (d’après le prix affiché), assortie d’options sur 40 autres avions CRJ900 NextGen.

Après la fin de l’année, le groupe a aussi reçu une commande de Al Qahtani Aviation Company du Royaume d’Arabie saoudite portant sur 16 avions CS300, assortie d’options sur 10 autres avions. D’après le prix affiché, la commande ferme est évaluée à 1,2 milliard $. À ce jour, Bombardier Aéronautique a reçu 201 commandes fermes d’avions CSeries pour un nombre d’engagements visant au total 445 avions avec 17 clients et exploitants de 14 pays.

Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique a atteint le montant record de 37,3 milliards $ au 31 décembre 2013, comparativement à 32,9 milliards $ au 31 décembre 2012.

Les programmes d’avion en développement progressent bien. Les résultats initiaux de performance des essais au sol et en vol du programme d’avions CSeries sont conformes à nos attentes. La mise en service de l’avion CS100 est maintenant prévue pour la seconde moitié de 2015 et celle de l’avion CS300 suivra environ six mois plus tard. Le programme d’avion Learjet 85 enregistre de solides progrès et se prépare pour son vol inaugural qui devrait avoir lieu dans les prochaines semaines.

En 2014, Bombardier Aéronautique s’attend à réaliser une marge RAII d’environ 5 %. Les flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles devraient se situer entre 1,2 milliard $ et 1,6 milliard $ en 2014, tandis que les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles devraient être entre 1,6 milliard $ et 1,9 milliard $. Les additions nettes aux immobilisations corporelles et incorporelles devraient se situer entre 1,2 milliard $ et 1,5 milliard $ en 2015, et être inférieures à 1,0 milliard $ en 2016. Enfin, Bombardier Aéronautique s’attend à livrer environ 200 avions d’affaires et 80 avions commerciaux en 2014, représentant une hausse combinée de près de 20 % sur le nombre de livraisons réalisées l’année précédente.(2)

Bombardier Transport

Les revenus de Bombardier Transport pour le trimestre clos le 31 décembre 2013 ont été de 2,5 milliards $, comparativement à 2,0 milliards $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les revenus de l’exercice clos le 31 décembre 2013 ont totalisé 8,8 milliards $, comparativement à 7,8 milliards $ pour l’exercice précédent.

Le RAII du quatrième trimestre clos le 31 décembre 2013 a été de 92 millions $, ou 3,8 % des revenus, comparativement à 80 millions $ avant éléments spéciaux, ou 3,9 %, (une perte de 83 millions $ après éléments spéciaux) pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Le RAII de l’exercice s’est élevé à 505 millions $, se traduisant en une marge RAII de 5,8 % des revenus, comparativement à 439 millions $ avant éléments spéciaux, ou 5,6 %, (276 millions $ après éléments spéciaux, ou 3,5 %) pour l’exercice précédent.

Les flux de trésorerie disponibles du trimestre clos le 31 décembre 2013 ont totalisé 767 millions $, comparativement à 675 millions $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent. Les flux de trésorerie disponibles ont totalisé 668 millions $ pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, comparativement à 488 millions $ pour l’exercice précédent.

Les nouvelles commandes ont totalisé 8,8 milliards $ pour un ratio de nouvelles commandes sur revenus de 1,0 dans un contexte de croissance des revenus, comparativement à 9,2 milliards $ pour l’exercice précédent. Le carnet de commandes s’établissait à 32,4 milliards $ au 31 décembre 2013, comparativement à 32,0 milliards $ au 31 décembre 2012.

Bombardier Transport a signé d’importants contrats dans l’ensemble des segments de produits et des régions géographiques. Le groupe a conclu des ententes avec la Deutsche Bahn pour la livraison de 130 locomotives électriquesTRAXX et 18 rames automotrices électriques à deux niveaux, d’une valeur totale de 1 milliard $. La régie des transports publics de Stockholm, en Suède, lui a octroyé un contrat pour 384 voitures de métro MOVIA d’une valeur de 771 millions $, tandis que S-Bahn Hamburg GMbH a signé une entente pour 60 trains de banlieue à courant unique et bicourant d’une valeur de 427 millions $. Bombardier Transport a percé le marché florissant des tramways en Chine grâce à son entente de licence de technologie signée avec CSR Nanjing Puzhen Rolling Stock Co. Ltd. (CSR Puzhen). À ce jour, CSR Puzhen a remporté des commandes de 18 tramways à plancher bas et de 15 tramways à plancher bas sans caténaire utilisant la technologie FLEXITY 2 de Bombardier Transport.

Après la fin de l’exercice, dans le cadre d’un consortium, Bombardier Transport a conclu un contrat d’une valeur d’environ 4,1 milliards $ avec l’État du Queensland en Australie, pour le « projet de matériel roulant de prochaine génération ». La part du groupe pour ce contrat, soit la fourniture de 75 rames automotrices électriques, la construction d’installations d’entretien spécialisées et des services d’entretien sur une période de 30 ans, est évaluée à 2,7 milliards $.

Également après la fin de l’exercice, Bombardier Transport a été recommandé comme adjudicataire du contrat de matériel roulant et d’un nouvel entrepôt pour Crossrail au Royaume-Uni.

À l’exclusion de l’incidence des taux de change, les revenus en 2014 devraient être plus élevés qu'en 2013, avec une croissance d’environ 5 %. Pour l’exercice 2014, le groupe s’attend à un ratio de nouvelles commandes sur revenus supérieur à 1,0. Ses flux de trésorerie disponibles devraient, de façon générale, être alignés sur son RAII, bien qu’ils puissent varier considérablement d’un trimestre à l’autre. Bien qu’une marge RAII de 8 % demeure l’objectif, Bombardier Transport prévoit une marge RAII d’environ 6 % en 2014, alors que le groupe se concentre sur l’amélioration de l’exécution des contrats.(2)

(2)   Voir les énoncés prospectifs à la fin de ce communiqué

Faits saillants financiers

Principales informations financières

DIVIDENDES SUR ACTIONS ORDINAIRES

Actions classe A et classe B 
Un dividende trimestriel de 0,025 $ CAN par action sur les actions classe A (droits de vote multiples) et de 0,0254 $ CAN par action sur les actions classe B (droits de vote limités) est payable le 31 mars 2014 aux porteurs d'actions inscrits à la fermeture des marchés le 14 mars 2014.

Les porteurs d'actions classe B (droits de vote limités) inscrits à la fermeture des marchés le 14 mars 2014 ont aussi droit à un dividende prioritaire trimestriel de 0,000390625 $ CAN par action.

DIVIDENDES SUR ACTIONS PRIVILÉGIÉES

Actions privilégiées, série 2 
Un dividende mensuel sur les actions privilégiées, série 2 de 0,0625 $ CAN par action a été payé les 15 novembre et 15 décembre 2013 et 15 janvier 2014.

Actions privilégiées, série 3 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 3 de 0,195875 $ CAN par action est payable le 30 avril 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 11 avril 2014.

Actions privilégiées, série 4 
Un dividende trimestriel sur les actions privilégiées, série 4 de 0,390625 $ CAN par action est payable le 30 avril 2014 aux porteurs de ces actions inscrits à la fermeture des marchés le 11 avril 2014.

À propos de Bombardier

Bombardier est le seul constructeur au monde à fabriquer à la fois des avions et des trains. Regardant vers l’avenir tout en repoussant les limites du présent, Bombardier fait évoluer la mobilité en répondant à la demande mondiale en moyens de transport plus efficaces, plus durables et plus agréables. Notre leadership résulte d’un vaste éventail de véhicules, de services et, surtout, de nos employés.

Le siège social de Bombardier est situé à Montréal, au Canada. Nos actions (BBD) se négocient à la Bourse de Toronto, et nous sommes l’une des entreprises composant les indices de durabilité Dow Jones Sustainability World et Dow Jones Sustainability North America. Pour l’exercice clos le 31 décembre 2013, nos revenus ont été de 18,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l'adresse  bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter :  @Bombardier.

Bombardier, Challenger, Challenger 605, CRJ, CRJ900, CS100, CS300, CSeries, FLEXITY, Global, Learjet, Learjet 70, Learjet 75, Learjet 85, L’évolution de la mobilité, MOVIA, NextGen, TRAXX et ZEFIRO sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.

Pour plus d'informations

Isabelle Rondeau
Directrice, Communications
Bombardier Inc.
+514 861 9481
Shirley Chénier
Directrice principale, Relations avec les investisseurs
Bombardier Inc.
+514 861 9481

Le rapport de gestion et les états financiers consolidés sont disponibles à l’adresse Internet  ri.bombardier.com

ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent communiqué contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité ou la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; et l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités. Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir », ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations, ou une terminologie semblable. De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que nous formulions des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus. Bien que nous jugions nos hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à notre disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sous-jacentes aux énoncés prospectifs formulés dans le présent communiqué, se reporter à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs respective des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion du rapport financier de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2013.

Parmi les facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés à la situation financière de l’industrie du transport aérien et des principaux exploitants ferroviaires), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services, aux partenaires commerciaux, aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur le rendement des produits, aux procédures réglementaires et judiciaires, à l’environnement, à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs, aux ressources humaines, aux engagements à modalités fixes, et à la production et à l’exécution de projets), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers, à l’exposition au risque de crédit, à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt, à l’aide au financement en faveur de certains clients et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale) et au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt, à la diminution de la valeur résiduelle et à l’augmentation des prix des produits de base). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes de la section Autres du rapport de gestion de la Société pour l’exercice clos le 31 décembre 2013. Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas s’y fier indûment. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent nos attentes à la date du présent communiqué et pourraient subir des modifications après cette date. À moins que nous n’y soyons tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent communiqué sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.

MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux, la marge RAII avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures, non définies par les PCGR, découlent directement des états financiers consolidés, mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres sociétés utilisant ces termes peuvent les calculer différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de nos états financiers consolidés une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR du rapport de gestion pour les définitions de ces mesures. Se reporter aux rubriques Mesures financières non conformes aux PCGR et Liquidités et sources de financement et aux rubriques Analyse des résultats des sections Aéronautique et Transport du rapport de gestion de la Société pour les rapprochements avec les mesures les plus comparables des IFRS.